La Trilogie. Rentabilite, Emploi, Taux D'Interet

Par : Jean-Pierre Gérard

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  • Nombre de pages76
  • PrésentationBroché
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions15,6 cm × 23,8 cm × 0,9 cm
  • ISBN2-7178-3356-0
  • EAN9782717833560
  • Date de parution17/05/1997
  • ÉditeurEconomica

Résumé

La courbe qui est présentée dans ce livre, dite " courbe GERARD ", est la première tentative pour expliquer la relation entre la rémunération du capital investi, les emplois et les taux réels à long terme. L'idée est simple : pour embaucher, il faut avoir investi. Or investir c'est choisir demain contre aujourd'hui. Il faut donc qu'il y ait une rentabilité qui rémunère la privation et le risque. La rentabilité minimum est celle que le marché financier donne aux placements sans risques. Les courbes établies par l'auteur ont une grande force de démonstration. Si l'idée est simple, les conclusions auxquelles conduisent ces analyses sont pour le moins politiquement incorrectes, et pourtant la démonstration est sous nos yeux. - On n'augmentera pas l'emploi si l'on ne rentabilise pas mieux les capitaux investis. - Le partage du travail ne résout rien s'il n'est assorti de certaines conditions limitatives. - Les dépenses publiques qui généralisent le gaspillage jouent contre l'emploi. L'auteur lance enfin en guise de conclusion quelques pistes sur les aspects structurants des taux réels. D'autres travaux internationaux et d'autres études devraient poursuivre cette piste.
La courbe qui est présentée dans ce livre, dite " courbe GERARD ", est la première tentative pour expliquer la relation entre la rémunération du capital investi, les emplois et les taux réels à long terme. L'idée est simple : pour embaucher, il faut avoir investi. Or investir c'est choisir demain contre aujourd'hui. Il faut donc qu'il y ait une rentabilité qui rémunère la privation et le risque. La rentabilité minimum est celle que le marché financier donne aux placements sans risques. Les courbes établies par l'auteur ont une grande force de démonstration. Si l'idée est simple, les conclusions auxquelles conduisent ces analyses sont pour le moins politiquement incorrectes, et pourtant la démonstration est sous nos yeux. - On n'augmentera pas l'emploi si l'on ne rentabilise pas mieux les capitaux investis. - Le partage du travail ne résout rien s'il n'est assorti de certaines conditions limitatives. - Les dépenses publiques qui généralisent le gaspillage jouent contre l'emploi. L'auteur lance enfin en guise de conclusion quelques pistes sur les aspects structurants des taux réels. D'autres travaux internationaux et d'autres études devraient poursuivre cette piste.