La transmission du savoir profane d'Alexandrie à la Chine jusqu'au XIXe siècle

Par : Dominique Lelièvre
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  • Nombre de pages273
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.445 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-343-14119-0
  • EAN9782343141190
  • Date de parution12/02/2018
  • CollectionHistoriques
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Quand, comment se sont transmis les savoirs anciens et modernes ? Ce panorama, inédit par son étendue historique et géographique, est l'occasion de suivre les grands mouvements de transmission des savoirs profanes : à Alexandrie et chez les Syriaques (jusqu'au VIIe s.), puis chez les Arabo-Persans (VIIIe - Xe .s.), les Latins en Europe (XIIe - XIIIe s.) et finalement en Extrême-Orient (XVIIe - XIXe s.).
Les acteurs et leurs motivations animent ces aventures intellectuelles, chacune spécifique. La transmission abbasside (IXe et Xe s.), sous impulsion califale, n'a rien de commun avec celle des Latins (XIIe - XIIIe s.) ; ni celle de la Chine avec celle du Japon, au XIXe siècle. Consolidés, les savoirs migrent dès le XVIIe siècle en Chine, héritière d'une riche tradition intellectuelle. Les doctrines idéologiques imposent, alors, leurs freins aux lettrés chinois comme aux missionnaires jésuites puis aux pasteurs protestants.
Dès cette époque, l'Europe découvre, en retour, la pensée, les connaissances et les arts de l'Extrême-Orient. On comprend également combien cette transmission à la Chine et au Japon fut tributaire des bouleversements géopolitiques.
Quand, comment se sont transmis les savoirs anciens et modernes ? Ce panorama, inédit par son étendue historique et géographique, est l'occasion de suivre les grands mouvements de transmission des savoirs profanes : à Alexandrie et chez les Syriaques (jusqu'au VIIe s.), puis chez les Arabo-Persans (VIIIe - Xe .s.), les Latins en Europe (XIIe - XIIIe s.) et finalement en Extrême-Orient (XVIIe - XIXe s.).
Les acteurs et leurs motivations animent ces aventures intellectuelles, chacune spécifique. La transmission abbasside (IXe et Xe s.), sous impulsion califale, n'a rien de commun avec celle des Latins (XIIe - XIIIe s.) ; ni celle de la Chine avec celle du Japon, au XIXe siècle. Consolidés, les savoirs migrent dès le XVIIe siècle en Chine, héritière d'une riche tradition intellectuelle. Les doctrines idéologiques imposent, alors, leurs freins aux lettrés chinois comme aux missionnaires jésuites puis aux pasteurs protestants.
Dès cette époque, l'Europe découvre, en retour, la pensée, les connaissances et les arts de l'Extrême-Orient. On comprend également combien cette transmission à la Chine et au Japon fut tributaire des bouleversements géopolitiques.
Le dragon de lumière
Dominique Lelièvre
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