La transmission des maisons lorraines. Familles et maisons paysannes de la fin du XVIIe au milieu du XXe siècle

Par : Jean-Yves Chauvet

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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • Poids0.41 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-343-05486-5
  • EAN9782343054865
  • Date de parution01/04/2016
  • CollectionHistoriques
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Jean-Yves Chauvet est spécialiste de l'architecture rurale traditionnelle. Il en étudie les formes construites et en défend la restauration respectueuse. Ses recherches l'ont conduit à inscrire la transmission des maisons dans un certain cadre d'échange entre les lignées ; celles-ci ne se transmettaient pas les maisons indéfiniment parce que les héritiers occupaient le plus souvent un toit indépendant de celui de leurs parents.
Auquel d'entre eux pouvait alors revenir la demeure familiale ? L'auteur creuse cette question en étudiant en profondeur les mutations des propriétés bâties des deux villages de Barisey-la-Côte (Meurthe-et-Moselle) et de Bisping (Moselle) ; il met en valeur l'étroite relation entre le mariage des héritiers et leur droit à disposer d'un toit, et souligne l'importance que prenait le phénomène de la division des maisons, quand le contexte démographique engendrait des tensions sur le marché de l'habitat.
Ces questions ne pouvaient ignorer l'évolution diachronique de l'habitat qui représente un remarquable marqueur du temps des sociétés rurales.
Jean-Yves Chauvet est spécialiste de l'architecture rurale traditionnelle. Il en étudie les formes construites et en défend la restauration respectueuse. Ses recherches l'ont conduit à inscrire la transmission des maisons dans un certain cadre d'échange entre les lignées ; celles-ci ne se transmettaient pas les maisons indéfiniment parce que les héritiers occupaient le plus souvent un toit indépendant de celui de leurs parents.
Auquel d'entre eux pouvait alors revenir la demeure familiale ? L'auteur creuse cette question en étudiant en profondeur les mutations des propriétés bâties des deux villages de Barisey-la-Côte (Meurthe-et-Moselle) et de Bisping (Moselle) ; il met en valeur l'étroite relation entre le mariage des héritiers et leur droit à disposer d'un toit, et souligne l'importance que prenait le phénomène de la division des maisons, quand le contexte démographique engendrait des tensions sur le marché de l'habitat.
Ces questions ne pouvaient ignorer l'évolution diachronique de l'habitat qui représente un remarquable marqueur du temps des sociétés rurales.