La Trace. Agouzou, femme esclave
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- Nombre de pages234
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.285 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-491641-05-4
- EAN9782491641054
- Date de parution05/01/2021
- CollectionRoman
- ÉditeurInstitut du Tout-Monde
- PréfacierOlivier Douville
Résumé
La découverte dans les archives de Fort-de-France, de l'acte d'individualité d'Agouzou, mon arrière-grand-mère paternelle, amarreuse de cannes dans une plantation de Case-Pilote, est le début d'une autofiction où deux fillettes, Amélie et Agouzou, se croisent dans des temps et des lieux différenciés et pour autant reliés, entre Martinique, Métropole, Niger et Guadeloupe. La Trace est un récit transversal.
La famille Arien a pour désir l'assimilation à une métropole rêvée. Fuyant la paupérisation coloniale martiniquaise des années soixante, elle s'installe à Niort mais est vite confrontée aux questions d'identité et d'exil. La Trace parle aussi de l'histoire de l'esclavage colonial, matrice de l'imaginaire antillais, de sa violence, de ses symptômes inscrits sur les dégradés de peau. Et ce traumatisme est occulté par des siècles de déni et de refoulement.
Agouzou et Amélie sont deux fillettes par lesquelles l'histoire tente de s'inscrire dans un au-delà du trauma. Agouzou, Marie-Augustine, ces femmes "poto-mitan", mes grands-mères, ont su résister à la barbarie esclavagiste pour me transmettre mon nom : Arien. La Trace est en premier lieu une histoire de transmission.
La famille Arien a pour désir l'assimilation à une métropole rêvée. Fuyant la paupérisation coloniale martiniquaise des années soixante, elle s'installe à Niort mais est vite confrontée aux questions d'identité et d'exil. La Trace parle aussi de l'histoire de l'esclavage colonial, matrice de l'imaginaire antillais, de sa violence, de ses symptômes inscrits sur les dégradés de peau. Et ce traumatisme est occulté par des siècles de déni et de refoulement.
Agouzou et Amélie sont deux fillettes par lesquelles l'histoire tente de s'inscrire dans un au-delà du trauma. Agouzou, Marie-Augustine, ces femmes "poto-mitan", mes grands-mères, ont su résister à la barbarie esclavagiste pour me transmettre mon nom : Arien. La Trace est en premier lieu une histoire de transmission.
La découverte dans les archives de Fort-de-France, de l'acte d'individualité d'Agouzou, mon arrière-grand-mère paternelle, amarreuse de cannes dans une plantation de Case-Pilote, est le début d'une autofiction où deux fillettes, Amélie et Agouzou, se croisent dans des temps et des lieux différenciés et pour autant reliés, entre Martinique, Métropole, Niger et Guadeloupe. La Trace est un récit transversal.
La famille Arien a pour désir l'assimilation à une métropole rêvée. Fuyant la paupérisation coloniale martiniquaise des années soixante, elle s'installe à Niort mais est vite confrontée aux questions d'identité et d'exil. La Trace parle aussi de l'histoire de l'esclavage colonial, matrice de l'imaginaire antillais, de sa violence, de ses symptômes inscrits sur les dégradés de peau. Et ce traumatisme est occulté par des siècles de déni et de refoulement.
Agouzou et Amélie sont deux fillettes par lesquelles l'histoire tente de s'inscrire dans un au-delà du trauma. Agouzou, Marie-Augustine, ces femmes "poto-mitan", mes grands-mères, ont su résister à la barbarie esclavagiste pour me transmettre mon nom : Arien. La Trace est en premier lieu une histoire de transmission.
La famille Arien a pour désir l'assimilation à une métropole rêvée. Fuyant la paupérisation coloniale martiniquaise des années soixante, elle s'installe à Niort mais est vite confrontée aux questions d'identité et d'exil. La Trace parle aussi de l'histoire de l'esclavage colonial, matrice de l'imaginaire antillais, de sa violence, de ses symptômes inscrits sur les dégradés de peau. Et ce traumatisme est occulté par des siècles de déni et de refoulement.
Agouzou et Amélie sont deux fillettes par lesquelles l'histoire tente de s'inscrire dans un au-delà du trauma. Agouzou, Marie-Augustine, ces femmes "poto-mitan", mes grands-mères, ont su résister à la barbarie esclavagiste pour me transmettre mon nom : Arien. La Trace est en premier lieu une histoire de transmission.