Et si la véritable crise écologique n'était pas seulement celle des forêts, des océans ou du climat... mais celle du lien brisé entre l'être humain et la Terre ? Arthur Firstenberg signe là un ouvrage magistral ayant la force d'un testament, à la croisée de la science, de la philosophie, de l'histoire et de l'expérience personnelle. Trente ans après avoir entamé cette oeuvre monumentale, il y revient avec une urgence nouvelle, porté par le constat d'un monde en chute libre : disparition des pollinisateurs, effondrement des écosystèmes, artificialisation de la vie à travers la technologie...
Loin des discours techniques ou des réponses fragmentaires, ce livre propose une lecture radicale et holistique de la crise écologique. L'auteur y démonte nos mythes de progrès, interroge la domination de la technique, et invite à une profonde refondation de notre rapport au vivant. Ce n'est ni un manuel, ni un manifeste, mais un cri, lucide et puissant, lancé à une humanité qui court à sa perte, en oubliant qu'elle fait partie d'un tout.
Un texte rare, visionnaire, parfois inconfortable, toujours nécessaire. "Même lorsque le dernier insecte aura été détruit, le dernier animal chassé, la dernière forêt rasée, et que l'homme vivra éternellement dans une maison climatisée, il ne sera pas satisfait - car ce n'est pas le monde qu'il faut réparer, c'est l'homme lui-même".
Et si la véritable crise écologique n'était pas seulement celle des forêts, des océans ou du climat... mais celle du lien brisé entre l'être humain et la Terre ? Arthur Firstenberg signe là un ouvrage magistral ayant la force d'un testament, à la croisée de la science, de la philosophie, de l'histoire et de l'expérience personnelle. Trente ans après avoir entamé cette oeuvre monumentale, il y revient avec une urgence nouvelle, porté par le constat d'un monde en chute libre : disparition des pollinisateurs, effondrement des écosystèmes, artificialisation de la vie à travers la technologie...
Loin des discours techniques ou des réponses fragmentaires, ce livre propose une lecture radicale et holistique de la crise écologique. L'auteur y démonte nos mythes de progrès, interroge la domination de la technique, et invite à une profonde refondation de notre rapport au vivant. Ce n'est ni un manuel, ni un manifeste, mais un cri, lucide et puissant, lancé à une humanité qui court à sa perte, en oubliant qu'elle fait partie d'un tout.
Un texte rare, visionnaire, parfois inconfortable, toujours nécessaire. "Même lorsque le dernier insecte aura été détruit, le dernier animal chassé, la dernière forêt rasée, et que l'homme vivra éternellement dans une maison climatisée, il ne sera pas satisfait - car ce n'est pas le monde qu'il faut réparer, c'est l'homme lui-même".