La Terre chinoise. Les fils de Wang Lung ; La famille dispersée ; Vent d'Est, vent d'Ouest ; La Mère

Par : Pearl Sydenstricker Buck
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  • Nombre de pages1143
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.72 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 4,5 cm
  • ISBN2-258-04579-7
  • EAN9782258045798
  • Date de parution29/05/1997
  • ÉditeurOmnibus
  • PréfacierPeter Conn

Résumé

" C'était le dernier matin qu'il lui faudrait allumer du feu. Il l'avait allumé chaque matin depuis six ans que sa mère était morte. Il avait allumé le feu, fait bouillir et versé l'eau dans un bol qu'il portait dans la chambre où son père, assis sur son lit, toussait et cherchait à tâtons ses chaussures sur le plancher. Chaque matin depuis six ans, le vieillard avait attendu que son fils lui apportât de l'eau chaude. Désormais le père et le fils pourraient se reposer. Il allait venir une femme à la maison. Jamais plus Wang Lung ne devrait se lever hiver comme été à l'aube, pour allumer le feu. Il resterait tranquillement dans son lit, et à lui aussi on apporterait un bol d'eau, et si la terre était féconde, il y aurait des feuilles de thé dans l'eau... " Ainsi voit-on naître au début de La Terre chinoise (1931) les rêves de Wang Lung. Ils sont ceux d'un paysan de la Chine éternelle, immuable croit-il, alors que bientôt souffleront les vents d'est et d'ouest qui la bousculeront.
" C'était le dernier matin qu'il lui faudrait allumer du feu. Il l'avait allumé chaque matin depuis six ans que sa mère était morte. Il avait allumé le feu, fait bouillir et versé l'eau dans un bol qu'il portait dans la chambre où son père, assis sur son lit, toussait et cherchait à tâtons ses chaussures sur le plancher. Chaque matin depuis six ans, le vieillard avait attendu que son fils lui apportât de l'eau chaude. Désormais le père et le fils pourraient se reposer. Il allait venir une femme à la maison. Jamais plus Wang Lung ne devrait se lever hiver comme été à l'aube, pour allumer le feu. Il resterait tranquillement dans son lit, et à lui aussi on apporterait un bol d'eau, et si la terre était féconde, il y aurait des feuilles de thé dans l'eau... " Ainsi voit-on naître au début de La Terre chinoise (1931) les rêves de Wang Lung. Ils sont ceux d'un paysan de la Chine éternelle, immuable croit-il, alors que bientôt souffleront les vents d'est et d'ouest qui la bousculeront.
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