La "summa divisio" des droits réls et des droits personnels. Etude critique
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- Nombre de pages292
- PrésentationBroché
- Poids0.46 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-247-15954-3
- EAN9782247159543
- Date de parution13/04/2016
- CollectionNouvelle Bibliothèque de Thèse
- ÉditeurDalloz
- PréfacierPhilippe Jacques
Résumé
Il s’agit d’une très belle thèse, qui sort des poncifs et de la doxa. Dans une matière souvent très doctrinale (alors même que d’applications très concrètes), M Lakssimi s’attache pourtant d’abord et avant tout au droit positif. Son idée de départ est née de ce que, en jurisprudence, la différence de régime entre le droit personnel et le droit réel pourtant toujours affirmée et enseignée, jusqu’à fonder la distinction supérieure de ces deux droits ne lui apparaissait pas aussi nettement tranchée.
M Lakssimi conteste, en droit positif, la supposée «surpuissance» du droit réel comparé au droit personnel. L’analyse du droit positif indique, en effet, que toute violation d’un droit, réel ou personnel, peut entraîner des réactions juridiques similaires, à chaque fois que la titularité du droit est en jeu. A côté, lorsqu’il est porté atteinte à l’objet d’un droit, réel ou personnel, la responsabilité civile peut identiquement trouver à s’appliquer, en tout état de cause.
Selon les termes mêmes de tous les membres de son jury, il s’agit d’un travail d’une «incontestable originalité», d’une «véritable thèse». Bien écrite, pédagogique, cette thèse parvient à ne pas sombrer dans une forme d’ésotérisme, d’abstraction extrême et peu utile, pourtant souvent relevée dès lors que la notion de droit réel est étudiée. Une grande partie de cette thèse est consacrée à une «déconstruction», justifiée par l’identité de régime des droits, réels et personnels.
M Lakssimi conteste, en droit positif, la supposée «surpuissance» du droit réel comparé au droit personnel. L’analyse du droit positif indique, en effet, que toute violation d’un droit, réel ou personnel, peut entraîner des réactions juridiques similaires, à chaque fois que la titularité du droit est en jeu. A côté, lorsqu’il est porté atteinte à l’objet d’un droit, réel ou personnel, la responsabilité civile peut identiquement trouver à s’appliquer, en tout état de cause.
Selon les termes mêmes de tous les membres de son jury, il s’agit d’un travail d’une «incontestable originalité», d’une «véritable thèse». Bien écrite, pédagogique, cette thèse parvient à ne pas sombrer dans une forme d’ésotérisme, d’abstraction extrême et peu utile, pourtant souvent relevée dès lors que la notion de droit réel est étudiée. Une grande partie de cette thèse est consacrée à une «déconstruction», justifiée par l’identité de régime des droits, réels et personnels.
Il s’agit d’une très belle thèse, qui sort des poncifs et de la doxa. Dans une matière souvent très doctrinale (alors même que d’applications très concrètes), M Lakssimi s’attache pourtant d’abord et avant tout au droit positif. Son idée de départ est née de ce que, en jurisprudence, la différence de régime entre le droit personnel et le droit réel pourtant toujours affirmée et enseignée, jusqu’à fonder la distinction supérieure de ces deux droits ne lui apparaissait pas aussi nettement tranchée.
M Lakssimi conteste, en droit positif, la supposée «surpuissance» du droit réel comparé au droit personnel. L’analyse du droit positif indique, en effet, que toute violation d’un droit, réel ou personnel, peut entraîner des réactions juridiques similaires, à chaque fois que la titularité du droit est en jeu. A côté, lorsqu’il est porté atteinte à l’objet d’un droit, réel ou personnel, la responsabilité civile peut identiquement trouver à s’appliquer, en tout état de cause.
Selon les termes mêmes de tous les membres de son jury, il s’agit d’un travail d’une «incontestable originalité», d’une «véritable thèse». Bien écrite, pédagogique, cette thèse parvient à ne pas sombrer dans une forme d’ésotérisme, d’abstraction extrême et peu utile, pourtant souvent relevée dès lors que la notion de droit réel est étudiée. Une grande partie de cette thèse est consacrée à une «déconstruction», justifiée par l’identité de régime des droits, réels et personnels.
M Lakssimi conteste, en droit positif, la supposée «surpuissance» du droit réel comparé au droit personnel. L’analyse du droit positif indique, en effet, que toute violation d’un droit, réel ou personnel, peut entraîner des réactions juridiques similaires, à chaque fois que la titularité du droit est en jeu. A côté, lorsqu’il est porté atteinte à l’objet d’un droit, réel ou personnel, la responsabilité civile peut identiquement trouver à s’appliquer, en tout état de cause.
Selon les termes mêmes de tous les membres de son jury, il s’agit d’un travail d’une «incontestable originalité», d’une «véritable thèse». Bien écrite, pédagogique, cette thèse parvient à ne pas sombrer dans une forme d’ésotérisme, d’abstraction extrême et peu utile, pourtant souvent relevée dès lors que la notion de droit réel est étudiée. Une grande partie de cette thèse est consacrée à une «déconstruction», justifiée par l’identité de régime des droits, réels et personnels.