José Antonio Ramos Sucre (1890-1930) était un poète, professeur et diplomate vénézuélien. D'une érudition extrême, il a publié à partir de 1912 et jusque dans les années 1920 une oeuvre absolument novatrice, même si on y retrouve des thèmes, des motifs ou des attitudes des décadents ou des symbolistes. Il a attendu près d'un siècle avant d'être reconnu, voire sacralisé dans les pays hispanophones.
La substance du rêve. Poèmes en prose (1912-1930)
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.406 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-7297-1228-0
- EAN9782729712280
- Date de parution01/10/2020
- CollectionIda y vuelta/Aller-retour
- ÉditeurPUL
- TraducteurPhilippe Dessommes
- TraducteurMichel Dubuis
- TraducteurFrançois Géal
- PréfacierGustavo Guerrero
Résumé
Dans cette anthologie est traduite la majeure partie de l'oeuvre de l'un des plus grands poètes que l'Amérique de langue espagnole nous ait donnés. Proche par de nombreux traits du symbolisme européen, José Antonio Ramos Sucre procèdes à des symbioses inédites d'éléments puisés dans sa vaste culture, dans les profondeurs du rêve, dans les pulsions de son être souffrant. Le poète semble les concevoir au sein même d'une langue nouvelle, dense, étrange, éminemment poétique et musicale, parfaite en cela qu'elle est unique.
Ses courts poèmes en prose transfigurent certains des thèmes familiers de l'Antiquité, du Moyen Age, de la Renaissance européenne ou de l'époque moderne pour fonder une symbolique sans frontières. La sélection de François Delprat, spécialiste de littérature vénézuélienne et de sa réception en France, nous donne à connaître le meilleur de cette oeuvre, indéniablement propice à ce que, un siècle après la disparition du poète, nous tombions avec lui en rêverie et relisions Goethe, Dante ou Shakespeare, Cervantes ou Leopardi...
Ses courts poèmes en prose transfigurent certains des thèmes familiers de l'Antiquité, du Moyen Age, de la Renaissance européenne ou de l'époque moderne pour fonder une symbolique sans frontières. La sélection de François Delprat, spécialiste de littérature vénézuélienne et de sa réception en France, nous donne à connaître le meilleur de cette oeuvre, indéniablement propice à ce que, un siècle après la disparition du poète, nous tombions avec lui en rêverie et relisions Goethe, Dante ou Shakespeare, Cervantes ou Leopardi...
Dans cette anthologie est traduite la majeure partie de l'oeuvre de l'un des plus grands poètes que l'Amérique de langue espagnole nous ait donnés. Proche par de nombreux traits du symbolisme européen, José Antonio Ramos Sucre procèdes à des symbioses inédites d'éléments puisés dans sa vaste culture, dans les profondeurs du rêve, dans les pulsions de son être souffrant. Le poète semble les concevoir au sein même d'une langue nouvelle, dense, étrange, éminemment poétique et musicale, parfaite en cela qu'elle est unique.
Ses courts poèmes en prose transfigurent certains des thèmes familiers de l'Antiquité, du Moyen Age, de la Renaissance européenne ou de l'époque moderne pour fonder une symbolique sans frontières. La sélection de François Delprat, spécialiste de littérature vénézuélienne et de sa réception en France, nous donne à connaître le meilleur de cette oeuvre, indéniablement propice à ce que, un siècle après la disparition du poète, nous tombions avec lui en rêverie et relisions Goethe, Dante ou Shakespeare, Cervantes ou Leopardi...
Ses courts poèmes en prose transfigurent certains des thèmes familiers de l'Antiquité, du Moyen Age, de la Renaissance européenne ou de l'époque moderne pour fonder une symbolique sans frontières. La sélection de François Delprat, spécialiste de littérature vénézuélienne et de sa réception en France, nous donne à connaître le meilleur de cette oeuvre, indéniablement propice à ce que, un siècle après la disparition du poète, nous tombions avec lui en rêverie et relisions Goethe, Dante ou Shakespeare, Cervantes ou Leopardi...