La Statue ébréchée de Charles de Gaulle

Par : Abdallah Naaman
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  • Nombre de pages368
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.567 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN979-10-309-0293-8
  • EAN9791030902938
  • Date de parution26/01/2022
  • ÉditeurOrizons

Résumé

Charles de Gaulle incarne le syndrome d'Astérix : le Gaulois se dresse pour sauver les siens. Sa geste héroïque est bien rodée. 1940, 1958, 1969, trois dates au cours desquelles il prend le visage de chef de la patrie en guerre, celui du recours contre la guerre civile, enfin celui du vieil homme incompris. Un demi-siècle après la disparition du général réfractaire, l'opinion française continue de s'interroger sur l'homme, comme sur Pauvre et le bilan.
En dépit du temps qui passe, l'adulation des admirateurs déclarés ne réduit nullement la vigueur et la ténacité des détracteurs. La statue est encore haute mais le marbre se fendille : les critiques commencent à se répandre. De son regard circonspect, non dénué d'humour et d'esprit critique, sans quitter la neutralité qu'il s'impose, l'auteur ne saurait se déprendre d'un sentiment d'admiration pour l'intelligence et l'obstination de cet homme atypique ; depuis sa disparition, tous ses successeurs se réfèrent à lui, se coulent dans le moule de ses institutions, cherchent régulièrement à chausser ses bottes sans jamais y parvenir.
Charles de Gaulle incarne le syndrome d'Astérix : le Gaulois se dresse pour sauver les siens. Sa geste héroïque est bien rodée. 1940, 1958, 1969, trois dates au cours desquelles il prend le visage de chef de la patrie en guerre, celui du recours contre la guerre civile, enfin celui du vieil homme incompris. Un demi-siècle après la disparition du général réfractaire, l'opinion française continue de s'interroger sur l'homme, comme sur Pauvre et le bilan.
En dépit du temps qui passe, l'adulation des admirateurs déclarés ne réduit nullement la vigueur et la ténacité des détracteurs. La statue est encore haute mais le marbre se fendille : les critiques commencent à se répandre. De son regard circonspect, non dénué d'humour et d'esprit critique, sans quitter la neutralité qu'il s'impose, l'auteur ne saurait se déprendre d'un sentiment d'admiration pour l'intelligence et l'obstination de cet homme atypique ; depuis sa disparition, tous ses successeurs se réfèrent à lui, se coulent dans le moule de ses institutions, cherchent régulièrement à chausser ses bottes sans jamais y parvenir.