La société inhumaine.. Mal-vivre dans le bien-être
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- Poids0.35 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
- ISBN2-7475-0684-3
- EAN9782747506847
- Date de parution01/04/2001
- CollectionSociologies et environnement
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Aujourd'hui, il est presque impossible de lire, écouter ou regarder les médias sans entendre parler de catastrophes écologiques, d'épidémies, d'empoisonnements, de jeunes gens à la dérive ou désocialisés, de " mal-vivre ", de tensions, etc. dans de larges secteurs des sociétés de " bien-être ". Comment en est-on arrivé à un tel paradoxe ? Le comprendre est la rude tâche à laquelle s'affronte la première partie de cet ouvrage qui aborde l'histoire du développement dans une perspective socio-anthropologique. La dégradation relative des conditions de la vie quotidienne au milieu et du fait de l'abondance, souvent appelée " mal de vivre " de manière un peu floue, peut être appréciée à travers quatre tendances lourdes inhérentes au développement des systèmes à forte croissance économique : les tensions spatio-temporelles, le déficit relationnel, l'éclatement du symbolique et l'incorporation, en pathologies, des dégradations de l'environnement. La description de ces quatre tendances constitue le cœur de l'ouvrage. La dernière partie propose un modèle de " développement - enveloppement durable " qui s'oppose à la société inhumaine au nom de l'autonomie des personnes mais qui tente aussi de préserver les conditions institutionnelles du développement humain pour garantir socialement et politiquement cette autonomie.
Aujourd'hui, il est presque impossible de lire, écouter ou regarder les médias sans entendre parler de catastrophes écologiques, d'épidémies, d'empoisonnements, de jeunes gens à la dérive ou désocialisés, de " mal-vivre ", de tensions, etc. dans de larges secteurs des sociétés de " bien-être ". Comment en est-on arrivé à un tel paradoxe ? Le comprendre est la rude tâche à laquelle s'affronte la première partie de cet ouvrage qui aborde l'histoire du développement dans une perspective socio-anthropologique. La dégradation relative des conditions de la vie quotidienne au milieu et du fait de l'abondance, souvent appelée " mal de vivre " de manière un peu floue, peut être appréciée à travers quatre tendances lourdes inhérentes au développement des systèmes à forte croissance économique : les tensions spatio-temporelles, le déficit relationnel, l'éclatement du symbolique et l'incorporation, en pathologies, des dégradations de l'environnement. La description de ces quatre tendances constitue le cœur de l'ouvrage. La dernière partie propose un modèle de " développement - enveloppement durable " qui s'oppose à la société inhumaine au nom de l'autonomie des personnes mais qui tente aussi de préserver les conditions institutionnelles du développement humain pour garantir socialement et politiquement cette autonomie.