La sirène et autres nouvelles

Par : Youssef Idris
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  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions14,1 cm × 22,4 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-330-16986-2
  • EAN9782330169862
  • Date de parution08/09/2022
  • CollectionLa bibliothèque arabe
  • ÉditeurActes Sud/Sindbad
  • TraducteurLuc Barbulesco
  • TraducteurPhilippe Cardinal

Résumé

Youssef Idris est le grand maître de la nouvelle dans la littérature arabe contemporaine, et ce recueil, puisé dans sa foisonnante production, illustre parfaitement ses thèmes de prédilection et les traits marquants de son écriture. "La Sirène" explore les fantasmes d'une jeune paysanne égyptienne ensorcelée par la vie trépidante au Caire et fourvoyée par les voix intérieures qui l'habitent. Cette nouvelle, l'une des plus célèbres de l'auteur, a été portée à l'écran en 1975, avec de grandes vedettes du cinéma égyptien, comme d'ailleurs, l'année précédente, "Au fond de la ville", où un jeune juge séduit et humilie sa bonne, une misérable mère de famille qu'il entraîne à la déchéance.
"L'Etranger", sous la forme d'une troublante confession, décrit le désir de meurtre gratuit chez un adolescent avenant qui devient le complice d'un redoutable tueur. "Voyage" (1969), enfin, la plus concise des quatre nouvelles, est l'histoire d'un homme enfermé dans une voiture avec le cadavre de son père. Publiée d'abord en juillet 1970 dans le quotidien Al-Abram, elle a été par la suite abondamment commentée car on y a vu une allégorie de la relation des Egyptiens avec le président Nasser, deux mois avant sa mort.
En rééditant ce livre plus de trente-cinq ans après sa publication, Sindbad/Actes Sud rend hommage à la mémoire d'un écrivain égyptien majeur, peu connu en France mais aussi vénéré dans le monde arabe que Naguib Mahfouz.
Youssef Idris est le grand maître de la nouvelle dans la littérature arabe contemporaine, et ce recueil, puisé dans sa foisonnante production, illustre parfaitement ses thèmes de prédilection et les traits marquants de son écriture. "La Sirène" explore les fantasmes d'une jeune paysanne égyptienne ensorcelée par la vie trépidante au Caire et fourvoyée par les voix intérieures qui l'habitent. Cette nouvelle, l'une des plus célèbres de l'auteur, a été portée à l'écran en 1975, avec de grandes vedettes du cinéma égyptien, comme d'ailleurs, l'année précédente, "Au fond de la ville", où un jeune juge séduit et humilie sa bonne, une misérable mère de famille qu'il entraîne à la déchéance.
"L'Etranger", sous la forme d'une troublante confession, décrit le désir de meurtre gratuit chez un adolescent avenant qui devient le complice d'un redoutable tueur. "Voyage" (1969), enfin, la plus concise des quatre nouvelles, est l'histoire d'un homme enfermé dans une voiture avec le cadavre de son père. Publiée d'abord en juillet 1970 dans le quotidien Al-Abram, elle a été par la suite abondamment commentée car on y a vu une allégorie de la relation des Egyptiens avec le président Nasser, deux mois avant sa mort.
En rééditant ce livre plus de trente-cinq ans après sa publication, Sindbad/Actes Sud rend hommage à la mémoire d'un écrivain égyptien majeur, peu connu en France mais aussi vénéré dans le monde arabe que Naguib Mahfouz.