La science politique une et multiple

Par : Eric Darras, Olivier Philippe
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  • Nombre de pages314
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-7475-6338-3
  • EAN9782747563383
  • Date de parution02/05/2004
  • CollectionLogiques politiques
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierPierre Favre

Résumé

La science politique française - les chapitras de ce livre en donnent presque tous l'exemple - se perçoit aujourd'hui comme légitime, et, assurée de l'être, elle ne mesure plus sa légitimité à celles des disciplines qui pourraient paraître peu ou prou concurrentes. Les disciplines de l'arc des sciences sociales sont acceptées dans leur validité scientifique et dans leur diversité interne. Le débat entre disciplines redevient possible et peut avoir sa pleine fécondité.
L'événement vaut d'être commenté. Il clôt une période, sur laquelle il n'est pas utile de revenir, où la science politique française vivait fort mal ses relations avec les disciplines voisines, le droit, la sociologie, l'histoire, l'économie, d'autres encore. Tantôt la science politique était conçue comme devant se fondre dans l'une ou l'autre de ces disciplines, et par exemple la sociologie, tantôt, elle s'érigeait en machine de guerre contre ses voisines, affirmant détenir seule la compréhension des phénomènes, et par exemple de la "force du droit".
Cette période est révolue. Ce n'est pas pour autant la fin de l'histoire... Préface de Pierre Favre.
La science politique française - les chapitras de ce livre en donnent presque tous l'exemple - se perçoit aujourd'hui comme légitime, et, assurée de l'être, elle ne mesure plus sa légitimité à celles des disciplines qui pourraient paraître peu ou prou concurrentes. Les disciplines de l'arc des sciences sociales sont acceptées dans leur validité scientifique et dans leur diversité interne. Le débat entre disciplines redevient possible et peut avoir sa pleine fécondité.
L'événement vaut d'être commenté. Il clôt une période, sur laquelle il n'est pas utile de revenir, où la science politique française vivait fort mal ses relations avec les disciplines voisines, le droit, la sociologie, l'histoire, l'économie, d'autres encore. Tantôt la science politique était conçue comme devant se fondre dans l'une ou l'autre de ces disciplines, et par exemple la sociologie, tantôt, elle s'érigeait en machine de guerre contre ses voisines, affirmant détenir seule la compréhension des phénomènes, et par exemple de la "force du droit".
Cette période est révolue. Ce n'est pas pour autant la fin de l'histoire... Préface de Pierre Favre.