Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Si l'on veut se faire une idée de l'étonnante liberté d'esprit qu'un Français de haute culture est capable de conserver en pleine guerre, il faut...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
" Si l'on veut se faire une idée de l'étonnante liberté d'esprit qu'un Français de haute culture est capable de conserver en pleine guerre, il faut lire La Sainte Face " écrivait Paul Seippel en juin 1918 dans le Journal de Genève. Ecrites en 1916, sur le champ de bataille, ces pages livrent en effet une brillante et déroutante réflexion sur la guerre, l'esprit des régions et des peuples., l'Histoire de l'Europe. Elles constituent surtout un témoignage exceptionnel sur l'expérience d'un médecin du front, dont la vision, les ressources expressives sont d'une surprenante modernité. Cet essai est accompagné de la correspondance qu'a entretenue Elle Faure avec le monde de l'Arrière. Ce volume permet de révéler une part ignorée de l'œuvre d'Elie Faure, surtout connu pour son Histoire de l'art.
Carine Trevisan, maître de conférences en littérature à l'Université Paris VII-Denis Diderot, a publié Aurélien d'Aragon, un " nouveau mal du siècle " (1996) et Les Fables du deuil, la Grande Guerre : mort et écriture (2001).