La route du sel. Sur les traces des caravanes
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- Nombre de pages157
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.625 kg
- Dimensions21,4 cm × 21,4 cm × 1,4 cm
- ISBN979-10-93399-23-2
- EAN9791093399232
- Date de parution04/11/2021
- ÉditeurAutour du monde
Résumé
Azalaï. C'est le nom que donnent les Touaregs à ces mythiques caravanes de dromadaires qui traversent le désert depuis des siècles. Aujourd'hui, avec l'arrivée des 4x4, les caravanes traditionnelles disparaissent peu à peu. Depuis 2012, en raison de l'instabilité politique, Tombouctou a vu chuter sa fréquentation touristique et son économie. Beaucoup de familles dépendent de l'industrie du sel pour vivre.
Malgré les dangers du Sahara et les combats qui opposent groupes armées aux forces gouvernementales, les mineurs continuent de se rendre dans les mines de Taoudéni, à 750 km au Nord, pour y déterrer ce que l'on appelle là-bas l'or blanc. Six mois de travail entre octobre et mars, loin de leur famille, loin de la civilisation et du confort qu'elle apporte. A partir de là, le Mali c'est fini...
Malgré les dangers du Sahara et les combats qui opposent groupes armées aux forces gouvernementales, les mineurs continuent de se rendre dans les mines de Taoudéni, à 750 km au Nord, pour y déterrer ce que l'on appelle là-bas l'or blanc. Six mois de travail entre octobre et mars, loin de leur famille, loin de la civilisation et du confort qu'elle apporte. A partir de là, le Mali c'est fini...
Azalaï. C'est le nom que donnent les Touaregs à ces mythiques caravanes de dromadaires qui traversent le désert depuis des siècles. Aujourd'hui, avec l'arrivée des 4x4, les caravanes traditionnelles disparaissent peu à peu. Depuis 2012, en raison de l'instabilité politique, Tombouctou a vu chuter sa fréquentation touristique et son économie. Beaucoup de familles dépendent de l'industrie du sel pour vivre.
Malgré les dangers du Sahara et les combats qui opposent groupes armées aux forces gouvernementales, les mineurs continuent de se rendre dans les mines de Taoudéni, à 750 km au Nord, pour y déterrer ce que l'on appelle là-bas l'or blanc. Six mois de travail entre octobre et mars, loin de leur famille, loin de la civilisation et du confort qu'elle apporte. A partir de là, le Mali c'est fini...
Malgré les dangers du Sahara et les combats qui opposent groupes armées aux forces gouvernementales, les mineurs continuent de se rendre dans les mines de Taoudéni, à 750 km au Nord, pour y déterrer ce que l'on appelle là-bas l'or blanc. Six mois de travail entre octobre et mars, loin de leur famille, loin de la civilisation et du confort qu'elle apporte. A partir de là, le Mali c'est fini...