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La route de la décivilisation. La fin du national - populaire
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- Nombre de pages313
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.386 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-204-17012-3
- EAN9782204170123
- Date de parution25/09/2025
- ÉditeurCerf
Résumé
Comment notre monde a-t-il basculé dans la décivilisation ? Comment sommes-nous passés d'une jugulation de la violence à sa libération ? De la crise des subprimes à l'idéologie de la crise, un livre pour comprendre notre présent et préparer notre avenir. Partout en Occident la brutalisation du monde avance. Non seulement le "néolibéralisme" n'a pas produit de "fin de l'histoire" mais, pour répondre à sa crise, des codes plus brutaux, des contestations diverses, se sont faits jour.
Comment en est-on arrivé là ? Le détonateur de la crise des subprimes a entraîné le dynamitage des piliers idéologiques d'hier, une explosion des familles idéologiques du passé, et la plongée de l'individu dans l'inconnu. Le clivage gauche droite n'a pas été subverti mais rongé à ses deux extrêmes par des idéologies et des blocs sociaux antagonistes. Antagonistes, certes, mais puisant, chacun, dans une sorte de matrice que l'on pourrait appeler une "idéologie de la crise" , les éléments à articuler pour se forger sa propre vision du monde.
Ce qui est central dans nos sociétés occidentales, c'est bien la hantise du déclin. Dans le prolongement de ses travaux, Gaël Brustier nous donne des clefs pour comprendre la marche du monde. Il met des mots sur les maux et nous permet d'appréhender l'avenir périlleux qui nous attend.
Comment en est-on arrivé là ? Le détonateur de la crise des subprimes a entraîné le dynamitage des piliers idéologiques d'hier, une explosion des familles idéologiques du passé, et la plongée de l'individu dans l'inconnu. Le clivage gauche droite n'a pas été subverti mais rongé à ses deux extrêmes par des idéologies et des blocs sociaux antagonistes. Antagonistes, certes, mais puisant, chacun, dans une sorte de matrice que l'on pourrait appeler une "idéologie de la crise" , les éléments à articuler pour se forger sa propre vision du monde.
Ce qui est central dans nos sociétés occidentales, c'est bien la hantise du déclin. Dans le prolongement de ses travaux, Gaël Brustier nous donne des clefs pour comprendre la marche du monde. Il met des mots sur les maux et nous permet d'appréhender l'avenir périlleux qui nous attend.
Comment notre monde a-t-il basculé dans la décivilisation ? Comment sommes-nous passés d'une jugulation de la violence à sa libération ? De la crise des subprimes à l'idéologie de la crise, un livre pour comprendre notre présent et préparer notre avenir. Partout en Occident la brutalisation du monde avance. Non seulement le "néolibéralisme" n'a pas produit de "fin de l'histoire" mais, pour répondre à sa crise, des codes plus brutaux, des contestations diverses, se sont faits jour.
Comment en est-on arrivé là ? Le détonateur de la crise des subprimes a entraîné le dynamitage des piliers idéologiques d'hier, une explosion des familles idéologiques du passé, et la plongée de l'individu dans l'inconnu. Le clivage gauche droite n'a pas été subverti mais rongé à ses deux extrêmes par des idéologies et des blocs sociaux antagonistes. Antagonistes, certes, mais puisant, chacun, dans une sorte de matrice que l'on pourrait appeler une "idéologie de la crise" , les éléments à articuler pour se forger sa propre vision du monde.
Ce qui est central dans nos sociétés occidentales, c'est bien la hantise du déclin. Dans le prolongement de ses travaux, Gaël Brustier nous donne des clefs pour comprendre la marche du monde. Il met des mots sur les maux et nous permet d'appréhender l'avenir périlleux qui nous attend.
Comment en est-on arrivé là ? Le détonateur de la crise des subprimes a entraîné le dynamitage des piliers idéologiques d'hier, une explosion des familles idéologiques du passé, et la plongée de l'individu dans l'inconnu. Le clivage gauche droite n'a pas été subverti mais rongé à ses deux extrêmes par des idéologies et des blocs sociaux antagonistes. Antagonistes, certes, mais puisant, chacun, dans une sorte de matrice que l'on pourrait appeler une "idéologie de la crise" , les éléments à articuler pour se forger sa propre vision du monde.
Ce qui est central dans nos sociétés occidentales, c'est bien la hantise du déclin. Dans le prolongement de ses travaux, Gaël Brustier nous donne des clefs pour comprendre la marche du monde. Il met des mots sur les maux et nous permet d'appréhender l'avenir périlleux qui nous attend.









