La ronde des phares. Petites lueurs sur les caps, les finistères et leurs sentinelles

Par : Françoise Sylvestre

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages89
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.08 kg
  • Dimensions11,0 cm × 16,7 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-36157-296-9
  • EAN9782361572969
  • Date de parution17/06/2021
  • CollectionPetite philosophie du voyage
  • ÉditeurTransboréal

Résumé

Ancrés dans le roc au terme de travaux herculéens, les phares et leurs gardiens affrontent, en sentinelles, la fureur des éléments. Pour le marin, ils constituent à la fois des amers et des écueils. Implantés tantôt à terre, les phares préviennent du danger, à condition toutefois que l'homme veille à leur fonctionnement. Le métier de gardien de phare est rude, l'isolement extrême. Dans cet univers impitoyable priment les valeurs d'humanité, de solidarité des gens de mer.
Avec l'essor de la navigation, ces édifices ont connu leurs heures de gloire sous toutes les latitudes. Du fait du développement du GPS, les phares ont peu à peu été automatisés : ils ne sont plus guère habités que par quelques propriétaires fortunés ou touristes aventureux à l'occasion de séjours insolites.
Ancrés dans le roc au terme de travaux herculéens, les phares et leurs gardiens affrontent, en sentinelles, la fureur des éléments. Pour le marin, ils constituent à la fois des amers et des écueils. Implantés tantôt à terre, les phares préviennent du danger, à condition toutefois que l'homme veille à leur fonctionnement. Le métier de gardien de phare est rude, l'isolement extrême. Dans cet univers impitoyable priment les valeurs d'humanité, de solidarité des gens de mer.
Avec l'essor de la navigation, ces édifices ont connu leurs heures de gloire sous toutes les latitudes. Du fait du développement du GPS, les phares ont peu à peu été automatisés : ils ne sont plus guère habités que par quelques propriétaires fortunés ou touristes aventureux à l'occasion de séjours insolites.