Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
A Hora, un village calabrais aux antiques racines albanaises, le jeune Costantino grandit, tiraillé entre le passé mythique de son peuple et l'Italie...
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Livré chez vous entre le 18 février et le 19 février
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Résumé
A Hora, un village calabrais aux antiques racines albanaises, le jeune Costantino grandit, tiraillé entre le passé mythique de son peuple et l'Italie d'aujourd'hui. Les histoires et légendes que son grand-père Lissandro lui raconte en arbëresh, l'ancienne langue albanaise, l'émerveillent, mais rien ne remplace la joie qui accompagne le retour de l'été. C'est alors que son père quitte l'Allemagne, où il a émigré, pour apporter à sa famille une modernité avec laquelle il est parfois difficile de cohabiter. Impulsif et généreux, courageux et fanfaron, il suscite l'admiration de Costantino, mais également sa crainte. Un père aux allures de héros, une mère énergique et patiente qui prépare des petits plats pimentés, deux sueurs qui ressassent de brûlantes histoires d'amour, penchées sur leur métier à tisser, un grand-père initiateur, tels sont les personnages qui composent le monde de Costantino. Avec réalisme, tendresse et ironie, l'auteur les lance dans un tourbillon d'événements tragi-comiques qui ont la force de l'épopée. On y pénètre aussi facilement que dans une ronde, au rythme des vieilles rhapsodies qui ponctuent l'existence de la petite communauté. Mais comment briser le cercle magique de la nostalgie qui retient ceux qui restent et éloigne ceux qui partent ?
Carmine Abate est né à Carfizzi, un village d'origine albanaise en Calabre, et vit aujourd'hui dans le Trentin où il exerce le métier d'enseignant. La Ronde de Costantino (Prix international des lecteurs Arge Alp, 2001) est le premier roman d'un des écrivains les plus originaux de sa génération.