La Rome ancienne. Ier siècle avant J-C - Ier siècle après J-C

Par : Hugues Mouckaga

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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-296-01631-6
  • EAN9782296016316
  • Date de parution01/10/2006
  • CollectionLogiques historiques
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierFabien Kange Ewane
  • PostfacierSaliou Ndiaye

Résumé

Au Ier s. av. J.-C, Rome, devenue capitale du monde du fait de la vigueur de son armée, de l'équilibre de ses institutions, de la rigueur de sa morale et de la rigidité de sa religion, était engluée dans une telle crise qu'elle fut réduite à l'état de " bateau ivre ", qui " faisait eau de toutes parts " : une ville en déliquescence en somme ! Au Ier s. ap. J.-C., cette tendance commença à s'inverser ; Rome redevint, alors, progressivement, une ville en reconstruction, en restructuration, en rénovation. Pour expliquer cet état de fait, des raisons ont été évoquées par les Romains eux-mêmes mais aussi par les historiens modernes : l'ambition dévorante des citoyens, foncièrement attirés par le pouvoir absolu à tout prix ; le goût effréné du lucre et donc de l'avoir, de l'accumulation des richesses ; le rejet des valeurs ancestrales ; mais aussi l'accession au trône impérial d'un homme politique de forte envergure et particulièrement charismatique qui inaugura un nouveau système politique, le Principat, et qui engagea sa cité dans des réformes tellement novatrices qu'elles ne furent nullement remises en question, même par ses successeurs : Octavien, devenu Auguste, après son " adoubement " consensuel par le Sénat et le Peuple romain, Senatus PopulusQue Romanus (S.P.Q.R). Dans cet ouvrage, l'auteur réexamine donc ces questions et leur en adjoint d'autres, afin de saisir et de faire comprendre tous les ressorts sur lesquels Rome s'est appuyée pour devenir et rester la Ville éternelle.
Au Ier s. av. J.-C, Rome, devenue capitale du monde du fait de la vigueur de son armée, de l'équilibre de ses institutions, de la rigueur de sa morale et de la rigidité de sa religion, était engluée dans une telle crise qu'elle fut réduite à l'état de " bateau ivre ", qui " faisait eau de toutes parts " : une ville en déliquescence en somme ! Au Ier s. ap. J.-C., cette tendance commença à s'inverser ; Rome redevint, alors, progressivement, une ville en reconstruction, en restructuration, en rénovation. Pour expliquer cet état de fait, des raisons ont été évoquées par les Romains eux-mêmes mais aussi par les historiens modernes : l'ambition dévorante des citoyens, foncièrement attirés par le pouvoir absolu à tout prix ; le goût effréné du lucre et donc de l'avoir, de l'accumulation des richesses ; le rejet des valeurs ancestrales ; mais aussi l'accession au trône impérial d'un homme politique de forte envergure et particulièrement charismatique qui inaugura un nouveau système politique, le Principat, et qui engagea sa cité dans des réformes tellement novatrices qu'elles ne furent nullement remises en question, même par ses successeurs : Octavien, devenu Auguste, après son " adoubement " consensuel par le Sénat et le Peuple romain, Senatus PopulusQue Romanus (S.P.Q.R). Dans cet ouvrage, l'auteur réexamine donc ces questions et leur en adjoint d'autres, afin de saisir et de faire comprendre tous les ressorts sur lesquels Rome s'est appuyée pour devenir et rester la Ville éternelle.