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D'un côté, les fourmis. Elles se demandent si nous sommes des monstres géants ou des dieux infinis. De l'autre, nous, les hommes. Au mieux, nous sommes indifférents à ces êtres minuscules. Au pire, nous nous acharnons à les écraser. Pourtant, après des millénaires d'incompréhension, les deux civilisations les plus évoluées de la planète vont peut-être se rencontrer, se comprendre, se connaître enfin.
Fin de la trilogie
La révolution...cela semblait prometteur, on s'attendait à voir quelque chose d'unique, enfin les fourmis allaient avoir leur place en ce monde. Pourtant, le livre commence étrangement, avec cette étudiante en chant qui va créer un réel mouvement révolutionnaire. On suit toujours en en parallèle les fourmis avec la 103eme. Mais au final, l'alchimie des deux précédents volumes ne prend pas. Pourquoi nous avoir emmenés aussi haut dans la réflexion, avoir poussé nos attentes à ce point alors qu'au final tout retombera comme un soufflet. Déçu par ce troisième volume. Je dirais même que c'est le volume de trop. Si c'était pour faire ça, l'auteur aurait dû s'arrêter au premier volume. Je crois d'ailleurs que cet auteur a tendance à faire des premiers tomes explosifs et à se perdre dans ses suites...Dommage, l'histoire des fourmis était pourtant bien partie...