La révolution des corps. Décroissance et croissance staturale des habitants des villes et des campagnes en France, 1780-1940
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- Nombre de pages750
- PrésentationBroché
- Poids1.245 kg
- Dimensions16,0 cm × 22,0 cm × 4,5 cm
- ISBN2-914279-19-1
- EAN9782914279192
- Date de parution01/07/2005
- CollectionSciences humaines et technolog
- ÉditeurUTBM
- PréfacierEmmanuel Le Roy Ladurie
Résumé
La France a-t-elle connu une voie " douce " vers la
modernité industrielle ? Pour répondre à cette question, Laurent Heyberger étudie la stature moyenne des conscrits français, considérée comme indice de développement humain. Il montre que l'évolution des " niveaux de vie biologiques ", apparemment lisse au niveau national, recouvre des évolutions régionales contrastées voire heurtées entre 1780 et 1940.
Le XIXe siècle oppose avec netteté la ville industrielle naissante et des campagnes au devenir nuancé : diminution dans certains terroirs, développement dans d'autres. Le XXe siècle réserve d'autres surprises (convergence entre régions, diversification entre professions mais maintien des inégalités sociales). Cette étude d'histoire anthropométrique, impressionnante par la masse des données mobilisées (298 000 dossiers individuels) et par l'originalité de la démarche, renouvelle les études portant sur les niveaux de vie en France.
Au-delà, il s'agit de dévoiler la face cachée de la révolution industrielle.
Le XIXe siècle oppose avec netteté la ville industrielle naissante et des campagnes au devenir nuancé : diminution dans certains terroirs, développement dans d'autres. Le XXe siècle réserve d'autres surprises (convergence entre régions, diversification entre professions mais maintien des inégalités sociales). Cette étude d'histoire anthropométrique, impressionnante par la masse des données mobilisées (298 000 dossiers individuels) et par l'originalité de la démarche, renouvelle les études portant sur les niveaux de vie en France.
Au-delà, il s'agit de dévoiler la face cachée de la révolution industrielle.
La France a-t-elle connu une voie " douce " vers la
modernité industrielle ? Pour répondre à cette question, Laurent Heyberger étudie la stature moyenne des conscrits français, considérée comme indice de développement humain. Il montre que l'évolution des " niveaux de vie biologiques ", apparemment lisse au niveau national, recouvre des évolutions régionales contrastées voire heurtées entre 1780 et 1940.
Le XIXe siècle oppose avec netteté la ville industrielle naissante et des campagnes au devenir nuancé : diminution dans certains terroirs, développement dans d'autres. Le XXe siècle réserve d'autres surprises (convergence entre régions, diversification entre professions mais maintien des inégalités sociales). Cette étude d'histoire anthropométrique, impressionnante par la masse des données mobilisées (298 000 dossiers individuels) et par l'originalité de la démarche, renouvelle les études portant sur les niveaux de vie en France.
Au-delà, il s'agit de dévoiler la face cachée de la révolution industrielle.
Le XIXe siècle oppose avec netteté la ville industrielle naissante et des campagnes au devenir nuancé : diminution dans certains terroirs, développement dans d'autres. Le XXe siècle réserve d'autres surprises (convergence entre régions, diversification entre professions mais maintien des inégalités sociales). Cette étude d'histoire anthropométrique, impressionnante par la masse des données mobilisées (298 000 dossiers individuels) et par l'originalité de la démarche, renouvelle les études portant sur les niveaux de vie en France.
Au-delà, il s'agit de dévoiler la face cachée de la révolution industrielle.