La restitution des biens culturels. Le cas des protocoles royaux de la dynastie Joseon entre le Japon et la Corée du Sud
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- Nombre de pages196
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.244 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-14-031352-3
- EAN9782140313523
- Date de parution05/01/2023
- CollectionRecherches Asiatiques
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierLionel Babicz
Résumé
Les demandes de restitution de patrimoine culturel se multiplient à travers le monde et provoquent des débats médiatiques importants. Nombre de ces demandes sont issues de contextes post-coloniaux et font écho à un passé douloureux incarné par ces objets. Le Japon et la Corée du Sud restent, depuis la seconde partie du XXe siècle, embourbés dans des considérations liées au passé impérial et colonial nippon.
Les problématiques historiques ressurgissent régulièrement et semblent refroidir les relations bilatérales. L'année 2011 voit pourtant aboutir un processus de restitution des manuscrits coréens d'une valeur historique majeure, les Protocoles Royaux de la Dynastie Joseon, du Japon à la Corée du Sud. Cette restitution reflète un processus de rapprochement entre les deux Etats qui, s'il n'est pas linéaire, s'observe particulièrement dans la sphère culturelle.
Les relations bilatérales sont ainsi le théâtre de gestes symboliques, tels que cette restitution : ils témoignent d'une volonté de guérir des mémoires encore douloureuses en établissant une proximité entre les leaders politiques mais également entre les peuples.
Les problématiques historiques ressurgissent régulièrement et semblent refroidir les relations bilatérales. L'année 2011 voit pourtant aboutir un processus de restitution des manuscrits coréens d'une valeur historique majeure, les Protocoles Royaux de la Dynastie Joseon, du Japon à la Corée du Sud. Cette restitution reflète un processus de rapprochement entre les deux Etats qui, s'il n'est pas linéaire, s'observe particulièrement dans la sphère culturelle.
Les relations bilatérales sont ainsi le théâtre de gestes symboliques, tels que cette restitution : ils témoignent d'une volonté de guérir des mémoires encore douloureuses en établissant une proximité entre les leaders politiques mais également entre les peuples.
Les demandes de restitution de patrimoine culturel se multiplient à travers le monde et provoquent des débats médiatiques importants. Nombre de ces demandes sont issues de contextes post-coloniaux et font écho à un passé douloureux incarné par ces objets. Le Japon et la Corée du Sud restent, depuis la seconde partie du XXe siècle, embourbés dans des considérations liées au passé impérial et colonial nippon.
Les problématiques historiques ressurgissent régulièrement et semblent refroidir les relations bilatérales. L'année 2011 voit pourtant aboutir un processus de restitution des manuscrits coréens d'une valeur historique majeure, les Protocoles Royaux de la Dynastie Joseon, du Japon à la Corée du Sud. Cette restitution reflète un processus de rapprochement entre les deux Etats qui, s'il n'est pas linéaire, s'observe particulièrement dans la sphère culturelle.
Les relations bilatérales sont ainsi le théâtre de gestes symboliques, tels que cette restitution : ils témoignent d'une volonté de guérir des mémoires encore douloureuses en établissant une proximité entre les leaders politiques mais également entre les peuples.
Les problématiques historiques ressurgissent régulièrement et semblent refroidir les relations bilatérales. L'année 2011 voit pourtant aboutir un processus de restitution des manuscrits coréens d'une valeur historique majeure, les Protocoles Royaux de la Dynastie Joseon, du Japon à la Corée du Sud. Cette restitution reflète un processus de rapprochement entre les deux Etats qui, s'il n'est pas linéaire, s'observe particulièrement dans la sphère culturelle.
Les relations bilatérales sont ainsi le théâtre de gestes symboliques, tels que cette restitution : ils témoignent d'une volonté de guérir des mémoires encore douloureuses en établissant une proximité entre les leaders politiques mais également entre les peuples.