La République de Platon, livre II et III. Ouvrir la perspective
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- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.302 kg
- Dimensions15,9 cm × 23,9 cm × 1,1 cm
- ISBN979-10-320-0570-5
- EAN9791032005705
- Date de parution18/09/2025
- CollectionHéritages méditerranéens
- ÉditeurPU de Provence
Résumé
Les sept études de ce volume portent sur les livres ? II et ? III de La République de Platon, dont elles analysent la complexité des sujets et de la structure. Les sept études de ce volume portent sur les livres II et III de La République de Platon. A la différence du livre I, où sont réfutées les définitions traditionnelles de la justice, et du livre IV, où la justice trouve sa définition à l'échelle de la cité et de l'âme, les livres I et II présentent une multiplicité de sujets : la justice, la naissance et le développement de la cité, la nécessité de la fonction des gardiens, la nature et l'éducation des gardiens.
Plus que des parenthèses ouvertes, ce sont des emboîtements : la découverte de la justice requiert l'observation théorique de la cité à son origine ; la cité, en se développant, a besoin de citoyens dont la fonction exclusive est de la préserver de ses ennemis tant extérieurs qu'intérieurs ; enfin, pour effectuer cette protection dans l'intérêt de l'Etat, ces gardiens, choisis pour leur nature, doivent recevoir une éducation profondément réformée.
Sans cette réforme, et sans les lois qui la constituent, la justice resterait introuvable. Trois focales ont été adoptées dans l'ouvrage : observer la productivité de l'éducation des gardiens (musique et gymnastique) pour la cité, observer la productivité de ces deux livres pour l'oeuvre de La République, et observer les produits singuliers de ces deux livres dans une comparaison avec d'autres dialogues de Platon et avec d'autres corpus (Aristophane, traités hippocratiques, Aristote).
Plus que des parenthèses ouvertes, ce sont des emboîtements : la découverte de la justice requiert l'observation théorique de la cité à son origine ; la cité, en se développant, a besoin de citoyens dont la fonction exclusive est de la préserver de ses ennemis tant extérieurs qu'intérieurs ; enfin, pour effectuer cette protection dans l'intérêt de l'Etat, ces gardiens, choisis pour leur nature, doivent recevoir une éducation profondément réformée.
Sans cette réforme, et sans les lois qui la constituent, la justice resterait introuvable. Trois focales ont été adoptées dans l'ouvrage : observer la productivité de l'éducation des gardiens (musique et gymnastique) pour la cité, observer la productivité de ces deux livres pour l'oeuvre de La République, et observer les produits singuliers de ces deux livres dans une comparaison avec d'autres dialogues de Platon et avec d'autres corpus (Aristophane, traités hippocratiques, Aristote).
Les sept études de ce volume portent sur les livres ? II et ? III de La République de Platon, dont elles analysent la complexité des sujets et de la structure. Les sept études de ce volume portent sur les livres II et III de La République de Platon. A la différence du livre I, où sont réfutées les définitions traditionnelles de la justice, et du livre IV, où la justice trouve sa définition à l'échelle de la cité et de l'âme, les livres I et II présentent une multiplicité de sujets : la justice, la naissance et le développement de la cité, la nécessité de la fonction des gardiens, la nature et l'éducation des gardiens.
Plus que des parenthèses ouvertes, ce sont des emboîtements : la découverte de la justice requiert l'observation théorique de la cité à son origine ; la cité, en se développant, a besoin de citoyens dont la fonction exclusive est de la préserver de ses ennemis tant extérieurs qu'intérieurs ; enfin, pour effectuer cette protection dans l'intérêt de l'Etat, ces gardiens, choisis pour leur nature, doivent recevoir une éducation profondément réformée.
Sans cette réforme, et sans les lois qui la constituent, la justice resterait introuvable. Trois focales ont été adoptées dans l'ouvrage : observer la productivité de l'éducation des gardiens (musique et gymnastique) pour la cité, observer la productivité de ces deux livres pour l'oeuvre de La République, et observer les produits singuliers de ces deux livres dans une comparaison avec d'autres dialogues de Platon et avec d'autres corpus (Aristophane, traités hippocratiques, Aristote).
Plus que des parenthèses ouvertes, ce sont des emboîtements : la découverte de la justice requiert l'observation théorique de la cité à son origine ; la cité, en se développant, a besoin de citoyens dont la fonction exclusive est de la préserver de ses ennemis tant extérieurs qu'intérieurs ; enfin, pour effectuer cette protection dans l'intérêt de l'Etat, ces gardiens, choisis pour leur nature, doivent recevoir une éducation profondément réformée.
Sans cette réforme, et sans les lois qui la constituent, la justice resterait introuvable. Trois focales ont été adoptées dans l'ouvrage : observer la productivité de l'éducation des gardiens (musique et gymnastique) pour la cité, observer la productivité de ces deux livres pour l'oeuvre de La République, et observer les produits singuliers de ces deux livres dans une comparaison avec d'autres dialogues de Platon et avec d'autres corpus (Aristophane, traités hippocratiques, Aristote).