La république assassinée. Mars-juillet 1940

Par : Michèle Cointet
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages333
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.426 kg
  • Dimensions15,7 cm × 24,4 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-38292-526-3
  • EAN9782382925263
  • Date de parution18/01/2024
  • CollectionDocument
  • ÉditeurBouquins

Résumé

Entre le 22 mars 1940, lorsque Paul Reynaud devient enfin président du Conseil, et le 10 juillet, où l'Assemblée nationale vote l'abolition de la République sous l'égide de Philippe Pétain, la comédie du pouvoir s'est transformée en tragédie nationale. Ce processus désastreux demeure à bien des égards un mystère mal éclairci, que les déclarations et les Mémoires de certains acteurs ont contribué à épaissir.
Si les causes militaires et diplomatiques ont pesé lourd, l'aspect politique et même culturel de l'événement méritait d'être approfondi. Comment, sous les yeux d'un président de la République frappé d'une impuissance consentie, trois anciens présidents du Conseil ont-ils prêté la main à ce bouleversement au profit d'un maréchal de France ? Les manoeuvres des seconds rôles révèlent des motivations et des mentalités marquées parla guerre précédente et par les impasses où des institutions irréformables ont conduit le pays.
L'atmosphère délétère de fin de régime et l'écrasante pression psychologique qu'a Tours, Bordeaux puis Vichy, la défaite en cours fait peser sur des hommes peu préparés à la supporter ont mené à l'inéluctable.
Entre le 22 mars 1940, lorsque Paul Reynaud devient enfin président du Conseil, et le 10 juillet, où l'Assemblée nationale vote l'abolition de la République sous l'égide de Philippe Pétain, la comédie du pouvoir s'est transformée en tragédie nationale. Ce processus désastreux demeure à bien des égards un mystère mal éclairci, que les déclarations et les Mémoires de certains acteurs ont contribué à épaissir.
Si les causes militaires et diplomatiques ont pesé lourd, l'aspect politique et même culturel de l'événement méritait d'être approfondi. Comment, sous les yeux d'un président de la République frappé d'une impuissance consentie, trois anciens présidents du Conseil ont-ils prêté la main à ce bouleversement au profit d'un maréchal de France ? Les manoeuvres des seconds rôles révèlent des motivations et des mentalités marquées parla guerre précédente et par les impasses où des institutions irréformables ont conduit le pays.
L'atmosphère délétère de fin de régime et l'écrasante pression psychologique qu'a Tours, Bordeaux puis Vichy, la défaite en cours fait peser sur des hommes peu préparés à la supporter ont mené à l'inéluctable.
La milice française
Michèle Cointet
E-book
15,99 €