La religion flamboyante. France (1320-1520)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages207
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.122 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,9 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7578-2181-7
- EAN9782757821817
- Date de parution20/01/2011
- CollectionPoints. Histoire
- ÉditeurPoints
Résumé
L’institution ecclésiale au début du XIVe siècle est en déclin et semble préparer le terrain pour la Réforme toute proche. On a souvent incriminé l’indignité du clergé, l’attiédissement de la foi pour expliquer les bouleversements religieux qui s’empareront de la France à la Renaissance. Et pourtant, dans cette étude classique, éditée pour la première fois en un volume séparé, Jacques Chiffoleau s’élève contre ces idées reçues en revenant à la rationalité propre aux hommes de la fin du Moyen Âge.
Il montre que malgré le développement des superstitions, un goût indéniable pour le macabre, la vieille société féodale en crise est parvenu à renouveler largement ses liens avec le sacré. Si l’institution est bien en crise au tournant du XVe siècle, la variété des usages locaux, l’inventivité, l’originalité à l’oeuvre confèrent à la dévotion un caractère flamboyant qui s’accompagne d’un « foisonnement rituel » remarquable, analysé avec précision par l’auteur.
À l’aube de la Réforme, cette étude donne enfin toutes les clés pour comprendre la survenue de cet événement majeur de l’histoire religieuse.
Il montre que malgré le développement des superstitions, un goût indéniable pour le macabre, la vieille société féodale en crise est parvenu à renouveler largement ses liens avec le sacré. Si l’institution est bien en crise au tournant du XVe siècle, la variété des usages locaux, l’inventivité, l’originalité à l’oeuvre confèrent à la dévotion un caractère flamboyant qui s’accompagne d’un « foisonnement rituel » remarquable, analysé avec précision par l’auteur.
À l’aube de la Réforme, cette étude donne enfin toutes les clés pour comprendre la survenue de cet événement majeur de l’histoire religieuse.
L’institution ecclésiale au début du XIVe siècle est en déclin et semble préparer le terrain pour la Réforme toute proche. On a souvent incriminé l’indignité du clergé, l’attiédissement de la foi pour expliquer les bouleversements religieux qui s’empareront de la France à la Renaissance. Et pourtant, dans cette étude classique, éditée pour la première fois en un volume séparé, Jacques Chiffoleau s’élève contre ces idées reçues en revenant à la rationalité propre aux hommes de la fin du Moyen Âge.
Il montre que malgré le développement des superstitions, un goût indéniable pour le macabre, la vieille société féodale en crise est parvenu à renouveler largement ses liens avec le sacré. Si l’institution est bien en crise au tournant du XVe siècle, la variété des usages locaux, l’inventivité, l’originalité à l’oeuvre confèrent à la dévotion un caractère flamboyant qui s’accompagne d’un « foisonnement rituel » remarquable, analysé avec précision par l’auteur.
À l’aube de la Réforme, cette étude donne enfin toutes les clés pour comprendre la survenue de cet événement majeur de l’histoire religieuse.
Il montre que malgré le développement des superstitions, un goût indéniable pour le macabre, la vieille société féodale en crise est parvenu à renouveler largement ses liens avec le sacré. Si l’institution est bien en crise au tournant du XVe siècle, la variété des usages locaux, l’inventivité, l’originalité à l’oeuvre confèrent à la dévotion un caractère flamboyant qui s’accompagne d’un « foisonnement rituel » remarquable, analysé avec précision par l’auteur.
À l’aube de la Réforme, cette étude donne enfin toutes les clés pour comprendre la survenue de cet événement majeur de l’histoire religieuse.