La reconnaissance avant la reconnaissance. Archéologie d'une problématique moderne
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- Nombre de pages325
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.408 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-84788-944-4
- EAN9782847889444
- Date de parution01/11/2017
- CollectionLa croisée des chemins
- ÉditeurENS (Editions)
Résumé
La plupart des études d'histoire de la philosophie ayant pris le thème de la reconnaissance pour objet ont porté sur les auteurs qui ont conféré une importance décisive à ce concept, c'est-à-dire sur une séquence historique qui commence avec Fichte et Hegel. Mais qu'en est-il de la problématique de la construction ou de la confirmation de l'image de soi par autrui avant les auteurs qui en ont fait un objet explicite de réflexion ou en ont proposé des modèles ? A une époque où le principe de la dignité égale de tous n'est pas encore institutionnalisé, peut-on - et en quels termes - poser malgré tout la question d'une politique ou d'une éthique de la reconnaissance ? Tout en étant motivées par les enjeux philosophiques mis en lumière par l'histoire ultérieure des théories de la reconnaissance, les études présentes dans ce volume sont attentives à la pluralité des problématiques de la reconnaissance qu'elles entendent en partie renouveler par leur confrontation à un matériau historique élargi.
Une telle démarche archéologique avait jusqu'ici surtout été appliquée à Rousseau. Ce collectif pose les premiers jalons d'une recherche de plus grande ampleur qui devrait intéresser aussi bien les spécialistes des auteurs abordés que les étudiants et chercheurs travaillant sur les problématiques de la reconnaissance et soucieux de ressourcer leurs réflexions sur le sujet.
Une telle démarche archéologique avait jusqu'ici surtout été appliquée à Rousseau. Ce collectif pose les premiers jalons d'une recherche de plus grande ampleur qui devrait intéresser aussi bien les spécialistes des auteurs abordés que les étudiants et chercheurs travaillant sur les problématiques de la reconnaissance et soucieux de ressourcer leurs réflexions sur le sujet.
La plupart des études d'histoire de la philosophie ayant pris le thème de la reconnaissance pour objet ont porté sur les auteurs qui ont conféré une importance décisive à ce concept, c'est-à-dire sur une séquence historique qui commence avec Fichte et Hegel. Mais qu'en est-il de la problématique de la construction ou de la confirmation de l'image de soi par autrui avant les auteurs qui en ont fait un objet explicite de réflexion ou en ont proposé des modèles ? A une époque où le principe de la dignité égale de tous n'est pas encore institutionnalisé, peut-on - et en quels termes - poser malgré tout la question d'une politique ou d'une éthique de la reconnaissance ? Tout en étant motivées par les enjeux philosophiques mis en lumière par l'histoire ultérieure des théories de la reconnaissance, les études présentes dans ce volume sont attentives à la pluralité des problématiques de la reconnaissance qu'elles entendent en partie renouveler par leur confrontation à un matériau historique élargi.
Une telle démarche archéologique avait jusqu'ici surtout été appliquée à Rousseau. Ce collectif pose les premiers jalons d'une recherche de plus grande ampleur qui devrait intéresser aussi bien les spécialistes des auteurs abordés que les étudiants et chercheurs travaillant sur les problématiques de la reconnaissance et soucieux de ressourcer leurs réflexions sur le sujet.
Une telle démarche archéologique avait jusqu'ici surtout été appliquée à Rousseau. Ce collectif pose les premiers jalons d'une recherche de plus grande ampleur qui devrait intéresser aussi bien les spécialistes des auteurs abordés que les étudiants et chercheurs travaillant sur les problématiques de la reconnaissance et soucieux de ressourcer leurs réflexions sur le sujet.