La quête de l'ordre. Textes imprimés et textes manuscrits, 1450-1830
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- Nombre de pages358
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.776 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-84788-986-4
- EAN9782847889864
- Date de parution24/04/2018
- CollectionMétamorphoses du livre
- ÉditeurENS (Editions)
Résumé
Cet ouvrage reconsidère les aspects fondamentaux de ce qu'on a largement appelé la révolution de l'imprimerie des premiers temps modernes. David McKitterick démontre que nombre de mutations associées à l'imprimerie n'ont été que progressivement assimilées durant près de 400 ans, une période bien plus longue que généralement admise. Depuis les années 1450 le texte et l'image imprimés sont devenus familiers dans la plus grande partie de l'Europe.
Pour les auteurs, les fabricants de livres, et les lecteurs, le manuscrit et l'imprimé durent dorénavant être compris davantage comme complémentaires que concurrents. Alors que l'imprimé semble offrir davantage de cohérence textuelle et graphique, cela n'a pas toujours été le cas. McKitterick avance que les historiens du livre comme les bibliographes ont été influencés par des considérations sur les usages des premiers livres imprimés qui ne sont pas apparues avant la fin du dix-neuvième siècle, et il invite ses lecteurs à travailler plutôt depuis le passé qu'à rebours.
Pour les auteurs, les fabricants de livres, et les lecteurs, le manuscrit et l'imprimé durent dorénavant être compris davantage comme complémentaires que concurrents. Alors que l'imprimé semble offrir davantage de cohérence textuelle et graphique, cela n'a pas toujours été le cas. McKitterick avance que les historiens du livre comme les bibliographes ont été influencés par des considérations sur les usages des premiers livres imprimés qui ne sont pas apparues avant la fin du dix-neuvième siècle, et il invite ses lecteurs à travailler plutôt depuis le passé qu'à rebours.
Cet ouvrage reconsidère les aspects fondamentaux de ce qu'on a largement appelé la révolution de l'imprimerie des premiers temps modernes. David McKitterick démontre que nombre de mutations associées à l'imprimerie n'ont été que progressivement assimilées durant près de 400 ans, une période bien plus longue que généralement admise. Depuis les années 1450 le texte et l'image imprimés sont devenus familiers dans la plus grande partie de l'Europe.
Pour les auteurs, les fabricants de livres, et les lecteurs, le manuscrit et l'imprimé durent dorénavant être compris davantage comme complémentaires que concurrents. Alors que l'imprimé semble offrir davantage de cohérence textuelle et graphique, cela n'a pas toujours été le cas. McKitterick avance que les historiens du livre comme les bibliographes ont été influencés par des considérations sur les usages des premiers livres imprimés qui ne sont pas apparues avant la fin du dix-neuvième siècle, et il invite ses lecteurs à travailler plutôt depuis le passé qu'à rebours.
Pour les auteurs, les fabricants de livres, et les lecteurs, le manuscrit et l'imprimé durent dorénavant être compris davantage comme complémentaires que concurrents. Alors que l'imprimé semble offrir davantage de cohérence textuelle et graphique, cela n'a pas toujours été le cas. McKitterick avance que les historiens du livre comme les bibliographes ont été influencés par des considérations sur les usages des premiers livres imprimés qui ne sont pas apparues avant la fin du dix-neuvième siècle, et il invite ses lecteurs à travailler plutôt depuis le passé qu'à rebours.