La question des nationalités
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages675
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.87 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-84950-549-6
- EAN9782849505496
- Date de parution27/04/2017
- CollectionMille Marxismes
- ÉditeurSyllepse (Editions)
- PréfacierClaudie Weill
- TraducteurNicole Brune-Perrin
- AnnotateurAlain Le Guyader
Résumé
Catalans, Ecossais, Corses, Kanaks, Kurdes, Tibétains, Afro-Américains... La liste est longue des nationalités et des minorités qui aspirent à la liberté. Pour Otto Bauer, la pleine réalisation des droits des peuples, fussent-ils minoritaires ou sans territoire, est la condition nécessaire à l'émancipation de tous et à la disparition des nationalismes régressifs. Le dépassement du particulier national dans l'universel ne peut se faire dans la négation des traits distincts, construits dans l'histoire, des différentes collectivités humaines.
Un nouvel espace démocratique est à construire où l'accession à l'universel est fondée sur la reconnaissance de droits particuliers. Ecrit dans les premières années du 20e siècle dans un empire austro-hongrois aux prises avec les aspirations de peuples multiples, La Question des nationalités prend sa place au coeur des luttes des peuples dominés et des controverses sur le droit à l'autodétermination et l'autonomie culturelle.
Otto Bauer étudie l'émergence du concept et du phénomène de nation. Celle-ci est ainsi perçue comme une réalité historique en perpétuel devenir. Refusant de faire de la langue ou du territoire les éléments constitutifs d'une nation, il pense celle-ci comme une communauté de destin faite d'identités multiples, elles aussi en transformation permanente. Aux pronostics prévoyant leur disparition, Otto Bauer oppose la thèse du réveil des peuples et de leur épanouissement dans une société socialiste.
Cet ouvrage montre que le marxisme peut répondre à la question nationale. Sa lecture conserve une étonnante actualité face à des situations contemporaines de plus en plus brûlantes.
Un nouvel espace démocratique est à construire où l'accession à l'universel est fondée sur la reconnaissance de droits particuliers. Ecrit dans les premières années du 20e siècle dans un empire austro-hongrois aux prises avec les aspirations de peuples multiples, La Question des nationalités prend sa place au coeur des luttes des peuples dominés et des controverses sur le droit à l'autodétermination et l'autonomie culturelle.
Otto Bauer étudie l'émergence du concept et du phénomène de nation. Celle-ci est ainsi perçue comme une réalité historique en perpétuel devenir. Refusant de faire de la langue ou du territoire les éléments constitutifs d'une nation, il pense celle-ci comme une communauté de destin faite d'identités multiples, elles aussi en transformation permanente. Aux pronostics prévoyant leur disparition, Otto Bauer oppose la thèse du réveil des peuples et de leur épanouissement dans une société socialiste.
Cet ouvrage montre que le marxisme peut répondre à la question nationale. Sa lecture conserve une étonnante actualité face à des situations contemporaines de plus en plus brûlantes.
Catalans, Ecossais, Corses, Kanaks, Kurdes, Tibétains, Afro-Américains... La liste est longue des nationalités et des minorités qui aspirent à la liberté. Pour Otto Bauer, la pleine réalisation des droits des peuples, fussent-ils minoritaires ou sans territoire, est la condition nécessaire à l'émancipation de tous et à la disparition des nationalismes régressifs. Le dépassement du particulier national dans l'universel ne peut se faire dans la négation des traits distincts, construits dans l'histoire, des différentes collectivités humaines.
Un nouvel espace démocratique est à construire où l'accession à l'universel est fondée sur la reconnaissance de droits particuliers. Ecrit dans les premières années du 20e siècle dans un empire austro-hongrois aux prises avec les aspirations de peuples multiples, La Question des nationalités prend sa place au coeur des luttes des peuples dominés et des controverses sur le droit à l'autodétermination et l'autonomie culturelle.
Otto Bauer étudie l'émergence du concept et du phénomène de nation. Celle-ci est ainsi perçue comme une réalité historique en perpétuel devenir. Refusant de faire de la langue ou du territoire les éléments constitutifs d'une nation, il pense celle-ci comme une communauté de destin faite d'identités multiples, elles aussi en transformation permanente. Aux pronostics prévoyant leur disparition, Otto Bauer oppose la thèse du réveil des peuples et de leur épanouissement dans une société socialiste.
Cet ouvrage montre que le marxisme peut répondre à la question nationale. Sa lecture conserve une étonnante actualité face à des situations contemporaines de plus en plus brûlantes.
Un nouvel espace démocratique est à construire où l'accession à l'universel est fondée sur la reconnaissance de droits particuliers. Ecrit dans les premières années du 20e siècle dans un empire austro-hongrois aux prises avec les aspirations de peuples multiples, La Question des nationalités prend sa place au coeur des luttes des peuples dominés et des controverses sur le droit à l'autodétermination et l'autonomie culturelle.
Otto Bauer étudie l'émergence du concept et du phénomène de nation. Celle-ci est ainsi perçue comme une réalité historique en perpétuel devenir. Refusant de faire de la langue ou du territoire les éléments constitutifs d'une nation, il pense celle-ci comme une communauté de destin faite d'identités multiples, elles aussi en transformation permanente. Aux pronostics prévoyant leur disparition, Otto Bauer oppose la thèse du réveil des peuples et de leur épanouissement dans une société socialiste.
Cet ouvrage montre que le marxisme peut répondre à la question nationale. Sa lecture conserve une étonnante actualité face à des situations contemporaines de plus en plus brûlantes.