La providence est une fée cruelle parfois
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages452
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.18 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 3,2 cm
- ISBN978-2-940583-83-6
- EAN9782940583836
- Date de parution01/06/2017
- Éditeur5 sens
Résumé
Sur les routes de France, entre Château-Vallon dans le Midi, et l'Ile-Saint-Louis à Paris, en Egypte, au Maroc, en Amérique du Sud, avant, pendant et après la seconde guerre mondiale, ce livre retrace le chemin de vie d'une famille, la mienne, entre 1920 et 1967 (année de mon départ de la maison), et en particulier celui de Simone Seytres ma mère. Rumeurs, médisances, mensonges, ont tenté de salir maman quelques temps avant sa mort.
Atteinte dans sa dignité de femme, de mère, d'épouse et de grand-mère, elle n'a pas cherché à se défendre mais à comprendre pourquoi l'une de ses filles pouvait la condamner, la haïr peut-être. Suite à la lecture de ses carnets, gardés secrets jusqu'après sa mort, j'ai découvert l'étendue de ses peines, de son abnégation ; de ses révoltes portées avec tant d'amour et d'innocence ; le tout empaqueté dans un écrin de vie coloré de drames, d'humour, et de candeurs amicales.
Je n'avais alors qu'une connaissance relative de ce que fut la vie de mes parents et j'ai infiniment regretté le manque de mots. Avant d'aborder l'écriture de ce récit, qui se veut être une transmission, un témoignage, j'ai écrit une pièce de théâtre mettant en scène trois personnalités féminines évoluant entre les années 1939 et 2008, c'était une fiction ayant pour support les écrits de maman... Je ne pouvais en rester là !
Atteinte dans sa dignité de femme, de mère, d'épouse et de grand-mère, elle n'a pas cherché à se défendre mais à comprendre pourquoi l'une de ses filles pouvait la condamner, la haïr peut-être. Suite à la lecture de ses carnets, gardés secrets jusqu'après sa mort, j'ai découvert l'étendue de ses peines, de son abnégation ; de ses révoltes portées avec tant d'amour et d'innocence ; le tout empaqueté dans un écrin de vie coloré de drames, d'humour, et de candeurs amicales.
Je n'avais alors qu'une connaissance relative de ce que fut la vie de mes parents et j'ai infiniment regretté le manque de mots. Avant d'aborder l'écriture de ce récit, qui se veut être une transmission, un témoignage, j'ai écrit une pièce de théâtre mettant en scène trois personnalités féminines évoluant entre les années 1939 et 2008, c'était une fiction ayant pour support les écrits de maman... Je ne pouvais en rester là !
Sur les routes de France, entre Château-Vallon dans le Midi, et l'Ile-Saint-Louis à Paris, en Egypte, au Maroc, en Amérique du Sud, avant, pendant et après la seconde guerre mondiale, ce livre retrace le chemin de vie d'une famille, la mienne, entre 1920 et 1967 (année de mon départ de la maison), et en particulier celui de Simone Seytres ma mère. Rumeurs, médisances, mensonges, ont tenté de salir maman quelques temps avant sa mort.
Atteinte dans sa dignité de femme, de mère, d'épouse et de grand-mère, elle n'a pas cherché à se défendre mais à comprendre pourquoi l'une de ses filles pouvait la condamner, la haïr peut-être. Suite à la lecture de ses carnets, gardés secrets jusqu'après sa mort, j'ai découvert l'étendue de ses peines, de son abnégation ; de ses révoltes portées avec tant d'amour et d'innocence ; le tout empaqueté dans un écrin de vie coloré de drames, d'humour, et de candeurs amicales.
Je n'avais alors qu'une connaissance relative de ce que fut la vie de mes parents et j'ai infiniment regretté le manque de mots. Avant d'aborder l'écriture de ce récit, qui se veut être une transmission, un témoignage, j'ai écrit une pièce de théâtre mettant en scène trois personnalités féminines évoluant entre les années 1939 et 2008, c'était une fiction ayant pour support les écrits de maman... Je ne pouvais en rester là !
Atteinte dans sa dignité de femme, de mère, d'épouse et de grand-mère, elle n'a pas cherché à se défendre mais à comprendre pourquoi l'une de ses filles pouvait la condamner, la haïr peut-être. Suite à la lecture de ses carnets, gardés secrets jusqu'après sa mort, j'ai découvert l'étendue de ses peines, de son abnégation ; de ses révoltes portées avec tant d'amour et d'innocence ; le tout empaqueté dans un écrin de vie coloré de drames, d'humour, et de candeurs amicales.
Je n'avais alors qu'une connaissance relative de ce que fut la vie de mes parents et j'ai infiniment regretté le manque de mots. Avant d'aborder l'écriture de ce récit, qui se veut être une transmission, un témoignage, j'ai écrit une pièce de théâtre mettant en scène trois personnalités féminines évoluant entre les années 1939 et 2008, c'était une fiction ayant pour support les écrits de maman... Je ne pouvais en rester là !