La Provence de Colette. Escales et rencontre

Par : Madeleine Paradis

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages97
  • PrésentationBroché
  • Poids0.65 kg
  • Dimensions25,5 cm × 18,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-84135-448-2
  • EAN9782841354481
  • Date de parution01/11/2004
  • CollectionImpressions du Sud
  • ÉditeurEquinoxe (Editions)

Résumé

" Pour moi, tel mot suffit à recréer l'odeur, la couleur des heures vécues " écrit Colette dans La Vagabonde. Avec des mots " sonores et pleins et mystérieux comme une coquille où chante la mer ", elle met nos sens en éveil et nous invite dans ses écrits à partager au fil des saisons son émerveillement pour un pays où quinze ans durant elle fit de fréquents séjours à " la Treille muscate ", sa maison de Saint-Tropez. Nourrie de ces lectures, le peintre Madeleine Paradis s'en est allée découvrir la Provence de l'écrivain et s'y est immergée. A son tour, elle nous entraîne à travers dessins, aquarelles et lavis dans un parcours où elle célèbre la lumière et les couleurs de cette contrée, tant il est vrai qu' " il n'est de départs que vers le soleil ", et qu'" il n'est de voyage qu'au devant d'une lumière accrue ".
" Pour moi, tel mot suffit à recréer l'odeur, la couleur des heures vécues " écrit Colette dans La Vagabonde. Avec des mots " sonores et pleins et mystérieux comme une coquille où chante la mer ", elle met nos sens en éveil et nous invite dans ses écrits à partager au fil des saisons son émerveillement pour un pays où quinze ans durant elle fit de fréquents séjours à " la Treille muscate ", sa maison de Saint-Tropez. Nourrie de ces lectures, le peintre Madeleine Paradis s'en est allée découvrir la Provence de l'écrivain et s'y est immergée. A son tour, elle nous entraîne à travers dessins, aquarelles et lavis dans un parcours où elle célèbre la lumière et les couleurs de cette contrée, tant il est vrai qu' " il n'est de départs que vers le soleil ", et qu'" il n'est de voyage qu'au devant d'une lumière accrue ".