La prospérité de l'entropie. Matériaux autobiologiques
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- Nombre de pages108
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.2 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-37361-070-3
- EAN9782373610703
- Date de parution01/09/2016
- CollectionVariantes
- ÉditeurMatériologiques (Editions)
- PréfacierThierry Leroy
- IllustrateurLionel Lesire
Résumé
La Prospérité de l'entropie est le premier et seul recueil poétique de Marc Silberstein, publié en 1999 et réédité ici presque sans modifications du texte, mais en y incluant des photos postérieures à cette époque. Puisant dans les lexiques des sciences dont il est familier, l'auteur emporte le lecteur dans un flux, celui de la tragédie de la condition humaine, qu'il métaphorise par la notion littérairement pynchonienne d'entropie, signifiant un irrésistible désordre.
Cette suite en prose se veut autant un jeu avec les mots (transposer les vocables des sciences dans le domaine de l'intime – les " matériaux autobiologiques " –, prétendument celui qu'il sied de taire) qu'un manifeste matérialiste et athée, à rebours de l'inclination spiritualiste qui encombre notre époque. L'auteur sait qu'il est de la même matière que le reste du cosmos. C'est effrayant, c'est vertigineux, mais tellement plus élevé que toutes les vésanies usées des religions...
Ici, la pensée affirme et assène, elle ne démontre pas, n'argumente pas. Pas le temps ! Les mâchoires de Chronos sont grandes ouvertes...
Cette suite en prose se veut autant un jeu avec les mots (transposer les vocables des sciences dans le domaine de l'intime – les " matériaux autobiologiques " –, prétendument celui qu'il sied de taire) qu'un manifeste matérialiste et athée, à rebours de l'inclination spiritualiste qui encombre notre époque. L'auteur sait qu'il est de la même matière que le reste du cosmos. C'est effrayant, c'est vertigineux, mais tellement plus élevé que toutes les vésanies usées des religions...
Ici, la pensée affirme et assène, elle ne démontre pas, n'argumente pas. Pas le temps ! Les mâchoires de Chronos sont grandes ouvertes...
La Prospérité de l'entropie est le premier et seul recueil poétique de Marc Silberstein, publié en 1999 et réédité ici presque sans modifications du texte, mais en y incluant des photos postérieures à cette époque. Puisant dans les lexiques des sciences dont il est familier, l'auteur emporte le lecteur dans un flux, celui de la tragédie de la condition humaine, qu'il métaphorise par la notion littérairement pynchonienne d'entropie, signifiant un irrésistible désordre.
Cette suite en prose se veut autant un jeu avec les mots (transposer les vocables des sciences dans le domaine de l'intime – les " matériaux autobiologiques " –, prétendument celui qu'il sied de taire) qu'un manifeste matérialiste et athée, à rebours de l'inclination spiritualiste qui encombre notre époque. L'auteur sait qu'il est de la même matière que le reste du cosmos. C'est effrayant, c'est vertigineux, mais tellement plus élevé que toutes les vésanies usées des religions...
Ici, la pensée affirme et assène, elle ne démontre pas, n'argumente pas. Pas le temps ! Les mâchoires de Chronos sont grandes ouvertes...
Cette suite en prose se veut autant un jeu avec les mots (transposer les vocables des sciences dans le domaine de l'intime – les " matériaux autobiologiques " –, prétendument celui qu'il sied de taire) qu'un manifeste matérialiste et athée, à rebours de l'inclination spiritualiste qui encombre notre époque. L'auteur sait qu'il est de la même matière que le reste du cosmos. C'est effrayant, c'est vertigineux, mais tellement plus élevé que toutes les vésanies usées des religions...
Ici, la pensée affirme et assène, elle ne démontre pas, n'argumente pas. Pas le temps ! Les mâchoires de Chronos sont grandes ouvertes...