La présence française en Corée de la fin du XVIIIe siècle à nos jours
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- Nombre de pages292
- PrésentationBroché
- Poids0.515 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-7475-8640-5
- EAN9782747586405
- Date de parution05/07/2005
- CollectionRecherches asiatiques
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En 1787, les marins de La Pérouse furent les premiers Français à observer les côtes de Corée mais sans se risquer à y débarquer : le refus des étrangers était ancré dans la culture confucéenne du pays du Matin Calme. Plus tard, des missionnaires français entrés clandestinement payèrent cette audace de leur vie (notamment en 1866). Venus venger leurs compatriotes, des soldats de l'infanterie de marine n'emportèrent qu'un peu d'or, des livres et de précieux manuscrits. Suite au traité d'amitié et de commerce signé en 1886, les relations franco-coréennes connurent enfin un âge d'or. Mais l'occupation japonaise effaça jusqu'au souvenir de Français, venus en Corée comme conseillers officiels pour l'éducation, les chemins de fer, les mines, l'armée, le droit, les douanes, les postes, le télégraphe et le téléphone. Qui se souvient que les Français invitèrent les Coréens à participer à l'Exposition Universelle de Paris et à adhérer à l'Union Postale Universelle en 1900 ? Depuis, le Pays du Matin Calme a appris à découvrir d'autres facettes du savoir-faire français : la grande distribution, les trains à grande vitesse, les centrales nucléaires, les lanceurs de satellites et la recherche biomédicale de très haut niveau. En annexe, un dictionnaire biographique rassemble les acteurs de cette présence mouvementée sans oublier les combattants volontaires (1950-1953), les sportifs des J.O. de Séoul (1988), les enseignants, les enfants adoptés français d'origine coréenne (de plus en plus nombreux à vouloir tenter un retour aux sources), tous ayant fait ou continuant à faire de l'interactivité franco-coréenne une réalité bien vivante.
En 1787, les marins de La Pérouse furent les premiers Français à observer les côtes de Corée mais sans se risquer à y débarquer : le refus des étrangers était ancré dans la culture confucéenne du pays du Matin Calme. Plus tard, des missionnaires français entrés clandestinement payèrent cette audace de leur vie (notamment en 1866). Venus venger leurs compatriotes, des soldats de l'infanterie de marine n'emportèrent qu'un peu d'or, des livres et de précieux manuscrits. Suite au traité d'amitié et de commerce signé en 1886, les relations franco-coréennes connurent enfin un âge d'or. Mais l'occupation japonaise effaça jusqu'au souvenir de Français, venus en Corée comme conseillers officiels pour l'éducation, les chemins de fer, les mines, l'armée, le droit, les douanes, les postes, le télégraphe et le téléphone. Qui se souvient que les Français invitèrent les Coréens à participer à l'Exposition Universelle de Paris et à adhérer à l'Union Postale Universelle en 1900 ? Depuis, le Pays du Matin Calme a appris à découvrir d'autres facettes du savoir-faire français : la grande distribution, les trains à grande vitesse, les centrales nucléaires, les lanceurs de satellites et la recherche biomédicale de très haut niveau. En annexe, un dictionnaire biographique rassemble les acteurs de cette présence mouvementée sans oublier les combattants volontaires (1950-1953), les sportifs des J.O. de Séoul (1988), les enseignants, les enfants adoptés français d'origine coréenne (de plus en plus nombreux à vouloir tenter un retour aux sources), tous ayant fait ou continuant à faire de l'interactivité franco-coréenne une réalité bien vivante.