Je l'ai lu, il y a quelques années en arrière, ce que je me souviens c'est la découverte d'une partie de l'Histoire d'un peuple, d'une région, d'un conflit dont j'entendais les informations à la radio sans tout vraiment bien saisir et qui ne cesse d'assombrir le soleil.
Depuis j'ai vu le film d'animation Valse avec Bachir (sur le massacre du camp de réfugiés de Sabra et Chatila). J'ai lu Une bouteille dans la mer de Gaza et Quand j'étais soldate de Valérie Zenatti. Je viens de lire Palestine de Hubert Haddad, Une femme fuyant l'annonce de David Grossman, et dans un tout autre registre La guerre de l'énergie- la face cachée du conflit israélo-palestinien de David Amsellem. Et pour finir, je suis en train de lire Les matins de Jénine de Susan Abulhawa. Ce qui se passe dans cette région est plus claire maintenant.
Je me souviens que j'avais bien aimé le style : monologue apostrophant l'Autre qu'il soit le père spirituel du narrateur ou le/la lecteur/trice.
Je l'ai lu, il y a quelques années en arrière, ce que je me souviens c'est la découverte d'une partie de l'Histoire d'un peuple, d'une région, d'un conflit dont j'entendais les informations à la radio sans tout vraiment bien saisir et qui ne cesse d'assombrir le soleil.
Depuis j'ai vu le film d'animation Valse avec Bachir (sur le massacre du camp de réfugiés de Sabra et Chatila). J'ai lu Une bouteille dans la mer de Gaza et Quand j'étais soldate de Valérie Zenatti. Je viens de lire Palestine de Hubert Haddad, Une femme fuyant l'annonce de David Grossman, et dans un tout autre registre La guerre de l'énergie- la face cachée du conflit israélo-palestinien de David Amsellem. Et pour finir, je suis en train de lire Les matins de Jénine de Susan Abulhawa. Ce qui se passe dans cette région est plus claire maintenant.
Je me souviens que j'avais bien aimé le style : monologue apostrophant l'Autre qu'il soit le père spirituel du narrateur ou le/la lecteur/trice.