Agrégé d'histoire et docteur ès lettres, Jean Tulard est professeur à l'université de Paris-Sorbonne et membre de l'Institut. Il est le maître incontesté des études napoléoniennes françaises.
La police parisienne entre deux révolutions. 1830 - 1848
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.134 kg
- Dimensions10,7 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-271-07994-7
- EAN9782271079947
- Date de parution20/02/2014
- CollectionBiblis
- ÉditeurCNRS
Résumé
De simple rouage du ministère de la Police générale sous la Restauration, la Préfecture de Police devient à partir de 1830 une grande administration, dont le chef dispose d'un pouvoir presque aussi étendu que celui du ministre de l'Intérieur. Elle s'adapte aux bouleversements d'une capitale où l'effervescence sociale et les menées séditieuses maintiennent les forces de l'ordre sur le qui-vive. Mais ses attributions ne se réduisent pas à la traque des criminels et des conspirateurs.
Problèmes de voirie, librairies et imprimeries, théâtres, cultes, hygiène publique : la police se confond avec l'administration de la ville. Une bureaucratie se constitue, un corps de police en uniforme est établi. Personnage influent et redouté, le préfet de police devient un conseiller écouté de la Couronne. En faisant revivre, de 1830 à 1848, l'histoire de cette puissante administration qui inspira Balzac, Hugo, Stendhal et Eugène Sue, Jean Tulard raconte avec talent le Paris d'avant la révolution haussmannienne.
Problèmes de voirie, librairies et imprimeries, théâtres, cultes, hygiène publique : la police se confond avec l'administration de la ville. Une bureaucratie se constitue, un corps de police en uniforme est établi. Personnage influent et redouté, le préfet de police devient un conseiller écouté de la Couronne. En faisant revivre, de 1830 à 1848, l'histoire de cette puissante administration qui inspira Balzac, Hugo, Stendhal et Eugène Sue, Jean Tulard raconte avec talent le Paris d'avant la révolution haussmannienne.
De simple rouage du ministère de la Police générale sous la Restauration, la Préfecture de Police devient à partir de 1830 une grande administration, dont le chef dispose d'un pouvoir presque aussi étendu que celui du ministre de l'Intérieur. Elle s'adapte aux bouleversements d'une capitale où l'effervescence sociale et les menées séditieuses maintiennent les forces de l'ordre sur le qui-vive. Mais ses attributions ne se réduisent pas à la traque des criminels et des conspirateurs.
Problèmes de voirie, librairies et imprimeries, théâtres, cultes, hygiène publique : la police se confond avec l'administration de la ville. Une bureaucratie se constitue, un corps de police en uniforme est établi. Personnage influent et redouté, le préfet de police devient un conseiller écouté de la Couronne. En faisant revivre, de 1830 à 1848, l'histoire de cette puissante administration qui inspira Balzac, Hugo, Stendhal et Eugène Sue, Jean Tulard raconte avec talent le Paris d'avant la révolution haussmannienne.
Problèmes de voirie, librairies et imprimeries, théâtres, cultes, hygiène publique : la police se confond avec l'administration de la ville. Une bureaucratie se constitue, un corps de police en uniforme est établi. Personnage influent et redouté, le préfet de police devient un conseiller écouté de la Couronne. En faisant revivre, de 1830 à 1848, l'histoire de cette puissante administration qui inspira Balzac, Hugo, Stendhal et Eugène Sue, Jean Tulard raconte avec talent le Paris d'avant la révolution haussmannienne.