La poétique romanesque de Joris - Karl Huysmans
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- PrésentationRelié
- Poids0.835 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-7453-1992-0
- EAN9782745319920
- Date de parution01/10/2010
- CollectionRomantisme et Modernités
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
La poétique romanesque de Joris-Karl Huysmans (1848-1907) témoigne à la fois de la crise qui affecte le roman à la fin du XIXe siècle et de la spécificité littéraire de son œuvre. En centrant l’analyse sur les techniques d’écriture, cet ouvrage propose de libérer la réflexion des périodisations esthétiques et biographiques et de faire apparaître un écrivain soucieux de préserver sa singularité. À la lumière des grands champs d’étude de la poétique romanesque (paratexte, intrigue, personnage, chronotope, discours, réception), le système interne de l’œuvre révèle un romancier hostile aux formules, toujours enclin aux expérimentations.
L’examen des composantes du récit démontre en effet l’exploration de voies parallèles qui remettent en cause le positivisme zolien et attestent un questionnement générique permanent. En orientant ses interrogations vers les « galeries abandonnées ou inconnues » (Baudelaire) d’une intériorité en proie aux pathologies psychiques, aux sollicitations du rêve, aux manifestations énigmatiques de la conversion, Huysmans s’assigne des objets d’étude inédits : le champ littéraire s’ouvre à l’inconscient et à la spiritualité.
Intimisme, réévaluation du passé, recherche de savoirs et de langages oubliés sont alors des vecteurs de singularité formelle et – paradoxalement – de modernité.
L’examen des composantes du récit démontre en effet l’exploration de voies parallèles qui remettent en cause le positivisme zolien et attestent un questionnement générique permanent. En orientant ses interrogations vers les « galeries abandonnées ou inconnues » (Baudelaire) d’une intériorité en proie aux pathologies psychiques, aux sollicitations du rêve, aux manifestations énigmatiques de la conversion, Huysmans s’assigne des objets d’étude inédits : le champ littéraire s’ouvre à l’inconscient et à la spiritualité.
Intimisme, réévaluation du passé, recherche de savoirs et de langages oubliés sont alors des vecteurs de singularité formelle et – paradoxalement – de modernité.
La poétique romanesque de Joris-Karl Huysmans (1848-1907) témoigne à la fois de la crise qui affecte le roman à la fin du XIXe siècle et de la spécificité littéraire de son œuvre. En centrant l’analyse sur les techniques d’écriture, cet ouvrage propose de libérer la réflexion des périodisations esthétiques et biographiques et de faire apparaître un écrivain soucieux de préserver sa singularité. À la lumière des grands champs d’étude de la poétique romanesque (paratexte, intrigue, personnage, chronotope, discours, réception), le système interne de l’œuvre révèle un romancier hostile aux formules, toujours enclin aux expérimentations.
L’examen des composantes du récit démontre en effet l’exploration de voies parallèles qui remettent en cause le positivisme zolien et attestent un questionnement générique permanent. En orientant ses interrogations vers les « galeries abandonnées ou inconnues » (Baudelaire) d’une intériorité en proie aux pathologies psychiques, aux sollicitations du rêve, aux manifestations énigmatiques de la conversion, Huysmans s’assigne des objets d’étude inédits : le champ littéraire s’ouvre à l’inconscient et à la spiritualité.
Intimisme, réévaluation du passé, recherche de savoirs et de langages oubliés sont alors des vecteurs de singularité formelle et – paradoxalement – de modernité.
L’examen des composantes du récit démontre en effet l’exploration de voies parallèles qui remettent en cause le positivisme zolien et attestent un questionnement générique permanent. En orientant ses interrogations vers les « galeries abandonnées ou inconnues » (Baudelaire) d’une intériorité en proie aux pathologies psychiques, aux sollicitations du rêve, aux manifestations énigmatiques de la conversion, Huysmans s’assigne des objets d’étude inédits : le champ littéraire s’ouvre à l’inconscient et à la spiritualité.
Intimisme, réévaluation du passé, recherche de savoirs et de langages oubliés sont alors des vecteurs de singularité formelle et – paradoxalement – de modernité.