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La phrase infinie de Thomas Bernhard
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- Nombre de pages92
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.064 kg
- Dimensions10,0 cm × 15,4 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-84162-738-7
- EAN9782841627387
- Date de parution11/04/2025
- CollectionEclats
- ÉditeurEclat (Editions de l')
- TraducteurJean-Pierre Cometti
Résumé
"La pensée est précisément cet art d'exister contre les faits" écrit Thomas Bernhard, et dans l'oeuvre riche et féconde d'Aldo G. Gargani, la figure de Bernhard apparaît comme un point de rupture, un basculement décisif, qui le fera passer d'une écriture philosophique d'une extraordinaire finesse, telle qu'elle s'exprime dans L'étonnement et le hasard (L'éclat, 2025), à un corps à corps avec la littérature elle-même, selon les formes qu'elle prendra dans l'Autriche de la première moitié du XXe siècle.
Ecrit juste après Regard et destin (Seuil, 1990), où Gargani fait ses adieux à l'Institution philosophique, La phrase infinie de Thomas Bernhard se retourne une dernière fois sur un passé académique, avant de s'en détacher tout à fait et d'atteindre les rives, enfin sereines, d'Une autre histoire (Laterza, 1991), qui inaugure un nouveau genre littéraire dont l'Italie n'a pas pris toute la mesure.
Ecrit juste après Regard et destin (Seuil, 1990), où Gargani fait ses adieux à l'Institution philosophique, La phrase infinie de Thomas Bernhard se retourne une dernière fois sur un passé académique, avant de s'en détacher tout à fait et d'atteindre les rives, enfin sereines, d'Une autre histoire (Laterza, 1991), qui inaugure un nouveau genre littéraire dont l'Italie n'a pas pris toute la mesure.
"La pensée est précisément cet art d'exister contre les faits" écrit Thomas Bernhard, et dans l'oeuvre riche et féconde d'Aldo G. Gargani, la figure de Bernhard apparaît comme un point de rupture, un basculement décisif, qui le fera passer d'une écriture philosophique d'une extraordinaire finesse, telle qu'elle s'exprime dans L'étonnement et le hasard (L'éclat, 2025), à un corps à corps avec la littérature elle-même, selon les formes qu'elle prendra dans l'Autriche de la première moitié du XXe siècle.
Ecrit juste après Regard et destin (Seuil, 1990), où Gargani fait ses adieux à l'Institution philosophique, La phrase infinie de Thomas Bernhard se retourne une dernière fois sur un passé académique, avant de s'en détacher tout à fait et d'atteindre les rives, enfin sereines, d'Une autre histoire (Laterza, 1991), qui inaugure un nouveau genre littéraire dont l'Italie n'a pas pris toute la mesure.
Ecrit juste après Regard et destin (Seuil, 1990), où Gargani fait ses adieux à l'Institution philosophique, La phrase infinie de Thomas Bernhard se retourne une dernière fois sur un passé académique, avant de s'en détacher tout à fait et d'atteindre les rives, enfin sereines, d'Une autre histoire (Laterza, 1991), qui inaugure un nouveau genre littéraire dont l'Italie n'a pas pris toute la mesure.
