La photographie moderniste brésilienne 1939-1964. Construction, déconstruction, reconstruction

Par : Helouise Costa, Marcella Legrand Marer
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.276 kg
  • Dimensions22,3 cm × 27,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-36511-438-7
  • EAN9782365114387
  • Date de parution03/07/2025
  • ÉditeurXavier Barral
  • TraducteurAntoine Chareyre
  • TraducteurElodie Dupau
  • TraducteurMelenn Kerhoas

Résumé

Dans les années 1940, le Brésil est en pleine transformation : il se modernise, multiplie les échanges à l'international, attire de nombreux émigrants européens et fait rêver. Témoins de cette révolution, les artistes du courant moderniste et, parmi eux, les photographes dont les images racontent l'entrée du pays sur la scène artistique cosmopolite. Dans le sillon qui voit naître l'architecture d'Oscar Niemeyer, et sa vision de la cité moderne, le cinéma Novo ou encore la Bossa Nova, cinq figures favorisent l'éclosion d'une nouvelle photographie : Geraldo de Barros, German Lorca, Gertrudes Altschul, José Oiticica Filho et Thomaz Farkas.
Se saisissant des potentiels politiques, sociaux et esthétiques de la photographie, ils vont donner à voir de nouveaux sujets : l'architecture moderniste et ses lignes souples, des motifs botaniques où contrastent ombres et lumières, des expérimentations inventives et des jeux de perspectives teintés d'un goût pour l'abstraction. Autre phénomène qui participe à l'émergence et au rayonnement d'une nouvelle photographie, les clubs amateurs de Foto Clubes Carioca de Rio de Janeiro et le Foto Clube Bandeirante de São Paulo, qui démocratisent l'usage du médium et nouent des contacts avec leurs homologues européens et américains.
D'une incroyable diversité et originalité, tant formelle qu'esthétique, la photographie moderniste de ces pionniers stimule toute une génération et inscrit définitivement le Brésil sur la scène des avant-gardes. Largement méconnue, la photographie moderniste brésilienne est ici présentée à travers plus d'une vingtaine de personnalités, dont certaines oeuvres sont conservées dans de prestigieuses institutions internationales, comme le MoMA à New York, la Tate Modern à Londres ou encore le Photo Elysée à Lausanne.
Des textes d'historiens du médium replaceront cette production dans le contexte social et visuel de l'époque, et évoqueront les nombreux échanges entre institutions et photoclubs à travers le monde.
Dans les années 1940, le Brésil est en pleine transformation : il se modernise, multiplie les échanges à l'international, attire de nombreux émigrants européens et fait rêver. Témoins de cette révolution, les artistes du courant moderniste et, parmi eux, les photographes dont les images racontent l'entrée du pays sur la scène artistique cosmopolite. Dans le sillon qui voit naître l'architecture d'Oscar Niemeyer, et sa vision de la cité moderne, le cinéma Novo ou encore la Bossa Nova, cinq figures favorisent l'éclosion d'une nouvelle photographie : Geraldo de Barros, German Lorca, Gertrudes Altschul, José Oiticica Filho et Thomaz Farkas.
Se saisissant des potentiels politiques, sociaux et esthétiques de la photographie, ils vont donner à voir de nouveaux sujets : l'architecture moderniste et ses lignes souples, des motifs botaniques où contrastent ombres et lumières, des expérimentations inventives et des jeux de perspectives teintés d'un goût pour l'abstraction. Autre phénomène qui participe à l'émergence et au rayonnement d'une nouvelle photographie, les clubs amateurs de Foto Clubes Carioca de Rio de Janeiro et le Foto Clube Bandeirante de São Paulo, qui démocratisent l'usage du médium et nouent des contacts avec leurs homologues européens et américains.
D'une incroyable diversité et originalité, tant formelle qu'esthétique, la photographie moderniste de ces pionniers stimule toute une génération et inscrit définitivement le Brésil sur la scène des avant-gardes. Largement méconnue, la photographie moderniste brésilienne est ici présentée à travers plus d'une vingtaine de personnalités, dont certaines oeuvres sont conservées dans de prestigieuses institutions internationales, comme le MoMA à New York, la Tate Modern à Londres ou encore le Photo Elysée à Lausanne.
Des textes d'historiens du médium replaceront cette production dans le contexte social et visuel de l'époque, et évoqueront les nombreux échanges entre institutions et photoclubs à travers le monde.