La philosophie uexküllienne de la vie et ses enjeux écologiques. Jakob von Uexküll, Le sens de la vie
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- Nombre de pages180
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.237 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-88-6976-256-7
- EAN9788869762567
- Date de parution06/05/2021
- CollectionL'esprit des signes
- ÉditeurMimesis
Résumé
"La thèse de Uexküll selon laquelle le sujet vivant et son Umwelt sont indissociables signifie déjà deux choses : la première, c'est que l'être aussi bien d'un être vivant que d'une Umwelt n'a rien de "substantiel", mais est relationnel. Plus encore, il n'y a pas - à l'encontre de ce qu'affirment la métaphysique, la physique et la politique dominantes depuis les Temps modernes en Occident - de réalité qui ne soit relationnelle." Jakob von Uexküll (1864-1944) est un biologiste qui a élaboré une philosophie de la vie en créant des concepts nouveaux dont celui, célèbre, de Umwelt.
Il est à cet égard une des références majeures des philosophes depuis la seconde moitié du XXe siècle. Entre les deux guerres mondiales de ce siècle, il ouvre la voie aussi bien à l'écologie qu'à l'éthologie, et il constitue plus tard la source majeure de la biosémiotique qui jette un pont par-dessus l'abîme supposé séparer nature et culture. La philosophie uexküllienne de la vie se présente par ailleurs comme l'héritière non seulement des pensées de Kant et de Goethe, mais encore de Johannes Müller, le fondateur de la physiologie.
En atteste Le sens de la vie, également traduit dans ce volume, dans lequel Uexküll réédite et commente le discours de 1824 de Müller.
Il est à cet égard une des références majeures des philosophes depuis la seconde moitié du XXe siècle. Entre les deux guerres mondiales de ce siècle, il ouvre la voie aussi bien à l'écologie qu'à l'éthologie, et il constitue plus tard la source majeure de la biosémiotique qui jette un pont par-dessus l'abîme supposé séparer nature et culture. La philosophie uexküllienne de la vie se présente par ailleurs comme l'héritière non seulement des pensées de Kant et de Goethe, mais encore de Johannes Müller, le fondateur de la physiologie.
En atteste Le sens de la vie, également traduit dans ce volume, dans lequel Uexküll réédite et commente le discours de 1824 de Müller.
"La thèse de Uexküll selon laquelle le sujet vivant et son Umwelt sont indissociables signifie déjà deux choses : la première, c'est que l'être aussi bien d'un être vivant que d'une Umwelt n'a rien de "substantiel", mais est relationnel. Plus encore, il n'y a pas - à l'encontre de ce qu'affirment la métaphysique, la physique et la politique dominantes depuis les Temps modernes en Occident - de réalité qui ne soit relationnelle." Jakob von Uexküll (1864-1944) est un biologiste qui a élaboré une philosophie de la vie en créant des concepts nouveaux dont celui, célèbre, de Umwelt.
Il est à cet égard une des références majeures des philosophes depuis la seconde moitié du XXe siècle. Entre les deux guerres mondiales de ce siècle, il ouvre la voie aussi bien à l'écologie qu'à l'éthologie, et il constitue plus tard la source majeure de la biosémiotique qui jette un pont par-dessus l'abîme supposé séparer nature et culture. La philosophie uexküllienne de la vie se présente par ailleurs comme l'héritière non seulement des pensées de Kant et de Goethe, mais encore de Johannes Müller, le fondateur de la physiologie.
En atteste Le sens de la vie, également traduit dans ce volume, dans lequel Uexküll réédite et commente le discours de 1824 de Müller.
Il est à cet égard une des références majeures des philosophes depuis la seconde moitié du XXe siècle. Entre les deux guerres mondiales de ce siècle, il ouvre la voie aussi bien à l'écologie qu'à l'éthologie, et il constitue plus tard la source majeure de la biosémiotique qui jette un pont par-dessus l'abîme supposé séparer nature et culture. La philosophie uexküllienne de la vie se présente par ailleurs comme l'héritière non seulement des pensées de Kant et de Goethe, mais encore de Johannes Müller, le fondateur de la physiologie.
En atteste Le sens de la vie, également traduit dans ce volume, dans lequel Uexküll réédite et commente le discours de 1824 de Müller.