Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La Doctrine de la science, c'est-à-dire la philosophie, est selon Fichte, comme spéculation, comme théorie du savoir, toute entière orientée vers...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
La Doctrine de la science, c'est-à-dire la philosophie, est selon Fichte, comme spéculation, comme théorie du savoir, toute entière orientée vers la vie comme vers son unique but. Elle l'est, d'abord, au titre de phénoménologie du savoir humain, soucieuse de concilier autant que possible la rigidité du concept avec les " méandres " et les " vibrations " de la vie spirituelle, dont elle tente de construire l'intelligibilité, et en lesquels s'exprime cette pure activité, en elle-même impensable, qu'est la Vie comme fond pulsionnel inconscient et archaïque de tout acte de conscience. Elle l'est, ensuite, comme action critique et thérapeutique de la philosophie sur elle-même en vue de restaurer en des esprits malades, où la vie s'est exténuée en spéculation stérile, cette confiance dans la réalité commune que présuppose l'agir éthique et politique. Comme telle, elle se présente comme une théorie de l'aliénation philosophique mettant à jour l'essence pathologique de la double illusion, idéaliste et réaliste, du destin métaphysique de la pensée. C'est à tenter de restituer l'originalité d'une philosophie en laquelle le transcendantal, appréhendé comme Vie " en-deça " de la conscience, est originairement projeté " en avant " de toute existence consciente comme tâche infinie, et à dégager l'intérêt de la réflexion fichtéenne sur l'errance métaphysique de la pensée du point de vue d'une psycho-pathologie générale, que s'attache le présent ouvrage.
Jean-Christophe Goddard est Maître de conférences à l'université de Poitiers et membre du Centre de Recherches sur Hegel et l'Idéalisme Allemand (CRHIA-Poitiers).