La philosophie des films
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- Nombre de pages304
- PrésentationBroché
- Poids0.435 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-7116-2601-4
- EAN9782711626014
- Date de parution10/02/2015
- CollectionEssais d'art et de philosophie
- ÉditeurVrin
- TraducteurEric Dufour
- TraducteurLaurent Jullier
- TraducteurAnna C. Zielinska
Résumé
A l'échelle mondiale, Noël Carroll est un théoricien bien connu du champ de l'esthétique et des études cinématographiques. Aucun de ses livres, pourtant, n'a été jusqu'ici traduit en français. Sans doute l'approche très rationnelle que propose Carroll de la théorie du cinéma détonne-t-elle un peu dans le paysage de l'esthétique française, où le culte de l'intuition et du je-ne-sais-quoi - les bêtes noires de l'auteur - est encore très vivace.
Pourtant, ce n'est pas un livre de désenchantement que cette Philosophie des films ; on pourrait même dire que l'ineffable, la poésie et l'informulable commencent là où un travail de catégorisation comme celui de Carroll est terminé. La clé de voûte de ce livre, en effet, est le concept de catégorie, et son moteur la volonté d'éclaircir le discours. De quoi parle-t-on exactement lorsqu'on dit qu'un film est plus cinématographique qu'un autre ? Ou, plus simplement, et comme cela arrive tous les jours, lorsqu'on dit qu'un film est meilleur qu'un autre ? Tout lui est bon pour répondre : pas seulement les chefs-d'oeuvre estampillés du Septième Art, mais les films du tout-venant, ceux qu'on regarde au quotidien, sur toutes sortes d'écrans, quelquefois à la sauvette.
Pourtant, ce n'est pas un livre de désenchantement que cette Philosophie des films ; on pourrait même dire que l'ineffable, la poésie et l'informulable commencent là où un travail de catégorisation comme celui de Carroll est terminé. La clé de voûte de ce livre, en effet, est le concept de catégorie, et son moteur la volonté d'éclaircir le discours. De quoi parle-t-on exactement lorsqu'on dit qu'un film est plus cinématographique qu'un autre ? Ou, plus simplement, et comme cela arrive tous les jours, lorsqu'on dit qu'un film est meilleur qu'un autre ? Tout lui est bon pour répondre : pas seulement les chefs-d'oeuvre estampillés du Septième Art, mais les films du tout-venant, ceux qu'on regarde au quotidien, sur toutes sortes d'écrans, quelquefois à la sauvette.
A l'échelle mondiale, Noël Carroll est un théoricien bien connu du champ de l'esthétique et des études cinématographiques. Aucun de ses livres, pourtant, n'a été jusqu'ici traduit en français. Sans doute l'approche très rationnelle que propose Carroll de la théorie du cinéma détonne-t-elle un peu dans le paysage de l'esthétique française, où le culte de l'intuition et du je-ne-sais-quoi - les bêtes noires de l'auteur - est encore très vivace.
Pourtant, ce n'est pas un livre de désenchantement que cette Philosophie des films ; on pourrait même dire que l'ineffable, la poésie et l'informulable commencent là où un travail de catégorisation comme celui de Carroll est terminé. La clé de voûte de ce livre, en effet, est le concept de catégorie, et son moteur la volonté d'éclaircir le discours. De quoi parle-t-on exactement lorsqu'on dit qu'un film est plus cinématographique qu'un autre ? Ou, plus simplement, et comme cela arrive tous les jours, lorsqu'on dit qu'un film est meilleur qu'un autre ? Tout lui est bon pour répondre : pas seulement les chefs-d'oeuvre estampillés du Septième Art, mais les films du tout-venant, ceux qu'on regarde au quotidien, sur toutes sortes d'écrans, quelquefois à la sauvette.
Pourtant, ce n'est pas un livre de désenchantement que cette Philosophie des films ; on pourrait même dire que l'ineffable, la poésie et l'informulable commencent là où un travail de catégorisation comme celui de Carroll est terminé. La clé de voûte de ce livre, en effet, est le concept de catégorie, et son moteur la volonté d'éclaircir le discours. De quoi parle-t-on exactement lorsqu'on dit qu'un film est plus cinématographique qu'un autre ? Ou, plus simplement, et comme cela arrive tous les jours, lorsqu'on dit qu'un film est meilleur qu'un autre ? Tout lui est bon pour répondre : pas seulement les chefs-d'oeuvre estampillés du Septième Art, mais les films du tout-venant, ceux qu'on regarde au quotidien, sur toutes sortes d'écrans, quelquefois à la sauvette.