La peur ou la liberté. Quelle politique face au populisme ? Suivi de Le Libéralisme de la peur
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.27 kg
- Dimensions13,1 cm × 20,6 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-85061-025-7
- EAN9782850610257
- Date de parution11/06/2020
- ÉditeurPremier Parallèle
- TraducteurFrédéric Joly
- AuteurJudith Shklar
Résumé
L'idée d'une opposition entre "élites libérales mondialisées" et "nationalistes et populistes attardés" est désormais bien ancrée dans les esprits. On en vient ainsi, en courant après une miraculeuse "vérité sociologique" que détiendraient les populistes, à tenir des propos qui n'ont rien à envier aux leurs. Comment a-t-on pu en arriver là ? Le libéralisme, historiquement garant des libertés individuelles contre les dérives autoritaires, relève-t-il de l'histoire ancienne, comme le clament les dirigeants vantant leurs "démocraties illibérales" ? Jan-Werner Müller montre comment et pourquoi le libéralisme a perdu de sa superbe une fois la guerre froide terminée.
Mais il élabore aussi, en s'appuyant sur les réflexions de Judith Shklar, grande intellectuelle de l'après-guerre encore méconnue en France, un "libéralisme d'en bas" - bien loin de l'idéologie du laisser-faire -, qui serait à l'écoute des plus faibles et soucieux de préserver les citoyens de la peur de l'avenir. Sans doute y a-t-il là une piste sérieuse pour sortir du vain combat entre libéraux et populistes.
Mais il élabore aussi, en s'appuyant sur les réflexions de Judith Shklar, grande intellectuelle de l'après-guerre encore méconnue en France, un "libéralisme d'en bas" - bien loin de l'idéologie du laisser-faire -, qui serait à l'écoute des plus faibles et soucieux de préserver les citoyens de la peur de l'avenir. Sans doute y a-t-il là une piste sérieuse pour sortir du vain combat entre libéraux et populistes.
L'idée d'une opposition entre "élites libérales mondialisées" et "nationalistes et populistes attardés" est désormais bien ancrée dans les esprits. On en vient ainsi, en courant après une miraculeuse "vérité sociologique" que détiendraient les populistes, à tenir des propos qui n'ont rien à envier aux leurs. Comment a-t-on pu en arriver là ? Le libéralisme, historiquement garant des libertés individuelles contre les dérives autoritaires, relève-t-il de l'histoire ancienne, comme le clament les dirigeants vantant leurs "démocraties illibérales" ? Jan-Werner Müller montre comment et pourquoi le libéralisme a perdu de sa superbe une fois la guerre froide terminée.
Mais il élabore aussi, en s'appuyant sur les réflexions de Judith Shklar, grande intellectuelle de l'après-guerre encore méconnue en France, un "libéralisme d'en bas" - bien loin de l'idéologie du laisser-faire -, qui serait à l'écoute des plus faibles et soucieux de préserver les citoyens de la peur de l'avenir. Sans doute y a-t-il là une piste sérieuse pour sortir du vain combat entre libéraux et populistes.
Mais il élabore aussi, en s'appuyant sur les réflexions de Judith Shklar, grande intellectuelle de l'après-guerre encore méconnue en France, un "libéralisme d'en bas" - bien loin de l'idéologie du laisser-faire -, qui serait à l'écoute des plus faibles et soucieux de préserver les citoyens de la peur de l'avenir. Sans doute y a-t-il là une piste sérieuse pour sortir du vain combat entre libéraux et populistes.