La peur chez les Grecs. Usages et représentations de l'Antiquité à l'ère chrétienne
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- Nombre de pages358
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.614 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-7535-9188-2
- EAN9782753591882
- Date de parution27/04/2023
- CollectionHistoire
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
La peur est indissociable de notre manière d'expérimenter le monde, et elle détermine notre manière de voir. Processus à la fois cognitif et opérateur de choix décisionnels soumis aux normes sociales en vigueur, la peur n'est pourtant ni sémantiquement définie ni linguistiquement formée. Elle a besoin d'un complément qui l'ancre dans l'expérience : peur des dieux ou de Dieu, du pouvoir, de l'autre, de la guerre, de la mort, etc.
L'ouvrage étudie les manières de nommer la peur, de la verbaliser, de la comprendre, de l'interpréter ; les manières de la somatiser, de la rêver, de la mettre en gestes, de la visualiser dans l'art et de la matérialiser dans des objets. A travers l'étude de la peur, de ses mécanismes mais aussi de ses usages sociaux et politiques, c'est toute une histoire des émotions qui est ici esquissée au sein des mondes de langue grecque, de l'Antiquité au XIXe siècle.
C'est aussi une histoire des sociétés concernées car, à travers la peur, se joue leur rapport au divin, aux autorités, aux ennemis, aux proches, aux étrangers et aux compatriotes, à soi-même enfin. Avec le soutien de la Fondation A. G. Leventis, du laboratoire Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques (AnHiMA, UMR 8210 CNRS/EPHE/EHESS, université Paris 1 Panthéon Sorbonne/université Paris Cité), de l'équipe CRISES et du LabEx ARCHIMEDE (université Paul-Valéry Montpellier 3).
L'ouvrage étudie les manières de nommer la peur, de la verbaliser, de la comprendre, de l'interpréter ; les manières de la somatiser, de la rêver, de la mettre en gestes, de la visualiser dans l'art et de la matérialiser dans des objets. A travers l'étude de la peur, de ses mécanismes mais aussi de ses usages sociaux et politiques, c'est toute une histoire des émotions qui est ici esquissée au sein des mondes de langue grecque, de l'Antiquité au XIXe siècle.
C'est aussi une histoire des sociétés concernées car, à travers la peur, se joue leur rapport au divin, aux autorités, aux ennemis, aux proches, aux étrangers et aux compatriotes, à soi-même enfin. Avec le soutien de la Fondation A. G. Leventis, du laboratoire Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques (AnHiMA, UMR 8210 CNRS/EPHE/EHESS, université Paris 1 Panthéon Sorbonne/université Paris Cité), de l'équipe CRISES et du LabEx ARCHIMEDE (université Paul-Valéry Montpellier 3).
La peur est indissociable de notre manière d'expérimenter le monde, et elle détermine notre manière de voir. Processus à la fois cognitif et opérateur de choix décisionnels soumis aux normes sociales en vigueur, la peur n'est pourtant ni sémantiquement définie ni linguistiquement formée. Elle a besoin d'un complément qui l'ancre dans l'expérience : peur des dieux ou de Dieu, du pouvoir, de l'autre, de la guerre, de la mort, etc.
L'ouvrage étudie les manières de nommer la peur, de la verbaliser, de la comprendre, de l'interpréter ; les manières de la somatiser, de la rêver, de la mettre en gestes, de la visualiser dans l'art et de la matérialiser dans des objets. A travers l'étude de la peur, de ses mécanismes mais aussi de ses usages sociaux et politiques, c'est toute une histoire des émotions qui est ici esquissée au sein des mondes de langue grecque, de l'Antiquité au XIXe siècle.
C'est aussi une histoire des sociétés concernées car, à travers la peur, se joue leur rapport au divin, aux autorités, aux ennemis, aux proches, aux étrangers et aux compatriotes, à soi-même enfin. Avec le soutien de la Fondation A. G. Leventis, du laboratoire Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques (AnHiMA, UMR 8210 CNRS/EPHE/EHESS, université Paris 1 Panthéon Sorbonne/université Paris Cité), de l'équipe CRISES et du LabEx ARCHIMEDE (université Paul-Valéry Montpellier 3).
L'ouvrage étudie les manières de nommer la peur, de la verbaliser, de la comprendre, de l'interpréter ; les manières de la somatiser, de la rêver, de la mettre en gestes, de la visualiser dans l'art et de la matérialiser dans des objets. A travers l'étude de la peur, de ses mécanismes mais aussi de ses usages sociaux et politiques, c'est toute une histoire des émotions qui est ici esquissée au sein des mondes de langue grecque, de l'Antiquité au XIXe siècle.
C'est aussi une histoire des sociétés concernées car, à travers la peur, se joue leur rapport au divin, aux autorités, aux ennemis, aux proches, aux étrangers et aux compatriotes, à soi-même enfin. Avec le soutien de la Fondation A. G. Leventis, du laboratoire Anthropologie et Histoire des Mondes Antiques (AnHiMA, UMR 8210 CNRS/EPHE/EHESS, université Paris 1 Panthéon Sorbonne/université Paris Cité), de l'équipe CRISES et du LabEx ARCHIMEDE (université Paul-Valéry Montpellier 3).