La petite chambre qui donnait sur la potence. Un combat pour la joie de vivre

Par : Nathan Katz
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages163
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,6 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-84590-297-8
  • EAN9782845902978
  • Date de parution18/06/2020
  • CollectionLes vies imaginaires
  • ÉditeurArfuyen
  • TraducteurJean-Louis Spieser
  • PréfacierJean-Paul Sorg
  • PréfacierYolande Siebert

Résumé

C'est en juin 1915 que Nathan Katz est interné au camp de prisonniers de Nijni-Novgorod. Comme Etty Hillesum au camp de Westerbork, il écrit ce qu'il voit. Les paysages grandioses de la plaine russe en hiver. Mais aussi, sous forme de courtes nouvelles, des por-traits : un camarade de détention, une infirmière... Cela aurait pu n'être que le témoignage d'un soldat prisonnier de guerre en Russie de juin 1915 à août 1916.
Mais c'est le premier livre de Nathan Katz et il préfigure déjà toute son oeuvre. Autodidacte passionné de littérature, jeté dans la guerre et blessé à 21 ans, il passe tout le temps de sa captivité à une seule chose : travailler sur lui-même. Et ce travail est avant tout, comme le proclame le sous-titre du livre, Un combat pour la joie de vivre : " J'aimerais bien savoir, écrit-il, qui pourrait m'interdire de me sentir libre ici, dans un camp de prisonniers, entouré de hauts murs certes, mais où le soleil brille dans la cour.
" Ne croirait-on pas lire le journal d'Etty Hillesum au camp de Westerbork ? Ecrit en langue allemande (l'Alsace était annexé au Reich depuis la défaite de 1870), Das Galgenstüblein raconte le devenir d'une conscience qui, jetée dans la mêlée d'une guerre, parvient à se former et à se dépasser en se hissant à l'universel. " Ce n'est sans doute pas un chef d'oeuvre littéraire, écrit Jean-Paul Sorg dans sa préface.
C'est mieux que cela ! [...] C'est une confession singulière, à nulle autre pareille, qui prend place doucement – à pas de colombe – dans le champ de la littérature spirituelle mondiale, cent ans après sa première édition. "
C'est en juin 1915 que Nathan Katz est interné au camp de prisonniers de Nijni-Novgorod. Comme Etty Hillesum au camp de Westerbork, il écrit ce qu'il voit. Les paysages grandioses de la plaine russe en hiver. Mais aussi, sous forme de courtes nouvelles, des por-traits : un camarade de détention, une infirmière... Cela aurait pu n'être que le témoignage d'un soldat prisonnier de guerre en Russie de juin 1915 à août 1916.
Mais c'est le premier livre de Nathan Katz et il préfigure déjà toute son oeuvre. Autodidacte passionné de littérature, jeté dans la guerre et blessé à 21 ans, il passe tout le temps de sa captivité à une seule chose : travailler sur lui-même. Et ce travail est avant tout, comme le proclame le sous-titre du livre, Un combat pour la joie de vivre : " J'aimerais bien savoir, écrit-il, qui pourrait m'interdire de me sentir libre ici, dans un camp de prisonniers, entouré de hauts murs certes, mais où le soleil brille dans la cour.
" Ne croirait-on pas lire le journal d'Etty Hillesum au camp de Westerbork ? Ecrit en langue allemande (l'Alsace était annexé au Reich depuis la défaite de 1870), Das Galgenstüblein raconte le devenir d'une conscience qui, jetée dans la mêlée d'une guerre, parvient à se former et à se dépasser en se hissant à l'universel. " Ce n'est sans doute pas un chef d'oeuvre littéraire, écrit Jean-Paul Sorg dans sa préface.
C'est mieux que cela ! [...] C'est une confession singulière, à nulle autre pareille, qui prend place doucement – à pas de colombe – dans le champ de la littérature spirituelle mondiale, cent ans après sa première édition. "
Annele Balthasar
Nathan Katz
Grand Format
18,00 €