La pérennité des systèmes de croyances ou le fondement d'une unité nationale japonaise. Une éthique de l'autonomie
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- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.217 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-343-09066-5
- EAN9782343090665
- Date de parution01/05/2017
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les hiérarchies de valeurs, les normes ou "nomos" issues de croyances ont codifié l'organisation sociale du Japon en assurant de fait leur pérennité. Dès lors, un principe d'interaction perpétuelle dans la société s'installe entre les individus, à travers le prisme des règles de droit. Ceux-ci ne se confrontent pas à la Loi, mais ils la manifestent par leurs actions individuelles. Ces interactions procèdent d'une mémoire transmise d'abord au sein des familles, puis par la pratique sociale de la "cité".
Sans mémoire cet ordre social n'existe pas. Cette mémoire collective relève de l'ensemble des connaissances accumulées par les générations précédentes. Elles résident aussi essentiellement dans le récit, comme une carte qui situe l'individu dans le temps, son propre temps. C'est ainsi que les "autorités narratives", les institutions ont acquis leur légitimité, leur unité nationale, leur "identicité".
En somme une société qui procède d'une "Ethique de l'autonomie".
Sans mémoire cet ordre social n'existe pas. Cette mémoire collective relève de l'ensemble des connaissances accumulées par les générations précédentes. Elles résident aussi essentiellement dans le récit, comme une carte qui situe l'individu dans le temps, son propre temps. C'est ainsi que les "autorités narratives", les institutions ont acquis leur légitimité, leur unité nationale, leur "identicité".
En somme une société qui procède d'une "Ethique de l'autonomie".
Les hiérarchies de valeurs, les normes ou "nomos" issues de croyances ont codifié l'organisation sociale du Japon en assurant de fait leur pérennité. Dès lors, un principe d'interaction perpétuelle dans la société s'installe entre les individus, à travers le prisme des règles de droit. Ceux-ci ne se confrontent pas à la Loi, mais ils la manifestent par leurs actions individuelles. Ces interactions procèdent d'une mémoire transmise d'abord au sein des familles, puis par la pratique sociale de la "cité".
Sans mémoire cet ordre social n'existe pas. Cette mémoire collective relève de l'ensemble des connaissances accumulées par les générations précédentes. Elles résident aussi essentiellement dans le récit, comme une carte qui situe l'individu dans le temps, son propre temps. C'est ainsi que les "autorités narratives", les institutions ont acquis leur légitimité, leur unité nationale, leur "identicité".
En somme une société qui procède d'une "Ethique de l'autonomie".
Sans mémoire cet ordre social n'existe pas. Cette mémoire collective relève de l'ensemble des connaissances accumulées par les générations précédentes. Elles résident aussi essentiellement dans le récit, comme une carte qui situe l'individu dans le temps, son propre temps. C'est ainsi que les "autorités narratives", les institutions ont acquis leur légitimité, leur unité nationale, leur "identicité".
En somme une société qui procède d'une "Ethique de l'autonomie".