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La percheaude
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- Poids0.336 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN2-7384-5106-3
- EAN9782738451064
- Date de parution26/05/1997
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Quand elle était entrée dans la salle des Mariniers, le silence avait basculé autour d'eux. Armand Réthoré, qui était là lui aussi, s'était même demandé ce qu'il pouvait y avoir de changé dans le café, qu'ils n'auraient pas remarqué avant. - Vous avez besoin de quelque chose ? avait demandé Joseph. Et tout de suite elle était venue. Elle s'était mise en mouvement, plutôt, comme une photographie s'animant tout d'un coup.
Une jupe longue, à larges fleurs violettes et roses, des grands cheveux très noirs, très libres, un maillot blanc léger, des yeux verts, ou bleus, des yeux qui traversent, la peau comme une coulée de miel, un ample collier de métal et de pierres balancé roulant sur les seins, un sourire... Ils n'avaient pas eu le temps de comprendre comment ils s'étaient effacés pour lui donner le passage. C'était un dimanche matin, au début de l'été.
Une jupe longue, à larges fleurs violettes et roses, des grands cheveux très noirs, très libres, un maillot blanc léger, des yeux verts, ou bleus, des yeux qui traversent, la peau comme une coulée de miel, un ample collier de métal et de pierres balancé roulant sur les seins, un sourire... Ils n'avaient pas eu le temps de comprendre comment ils s'étaient effacés pour lui donner le passage. C'était un dimanche matin, au début de l'été.
Quand elle était entrée dans la salle des Mariniers, le silence avait basculé autour d'eux. Armand Réthoré, qui était là lui aussi, s'était même demandé ce qu'il pouvait y avoir de changé dans le café, qu'ils n'auraient pas remarqué avant. - Vous avez besoin de quelque chose ? avait demandé Joseph. Et tout de suite elle était venue. Elle s'était mise en mouvement, plutôt, comme une photographie s'animant tout d'un coup.
Une jupe longue, à larges fleurs violettes et roses, des grands cheveux très noirs, très libres, un maillot blanc léger, des yeux verts, ou bleus, des yeux qui traversent, la peau comme une coulée de miel, un ample collier de métal et de pierres balancé roulant sur les seins, un sourire... Ils n'avaient pas eu le temps de comprendre comment ils s'étaient effacés pour lui donner le passage. C'était un dimanche matin, au début de l'été.
Une jupe longue, à larges fleurs violettes et roses, des grands cheveux très noirs, très libres, un maillot blanc léger, des yeux verts, ou bleus, des yeux qui traversent, la peau comme une coulée de miel, un ample collier de métal et de pierres balancé roulant sur les seins, un sourire... Ils n'avaient pas eu le temps de comprendre comment ils s'étaient effacés pour lui donner le passage. C'était un dimanche matin, au début de l'été.
