La perception. Sur la théorie phénoménologique de l'intuition, deuxième partie

Par : Aimberê Quintiliano

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  • Nombre de pages244
  • PrésentationBroché
  • Poids0.385 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-296-54220-4
  • EAN9782296542204
  • Date de parution01/07/2011
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'imagination et les champs sensibles ont été les thèmes de la première partie de notre enquête sur la théorie phénoménologique de l'intuition. La perception, qui est le moment de la donation en chair et en os de la chose, de l'essence individuelle qui se présente à l'intuition, le moment de la présence, constituera notre second sujet d'interrogation. Toute la théorie phénoménologique concentre en ce point sa tension maximale, car d'elle dépend la cohérence de l'ensemble.
Le rapport entre l'objet et la chose, ainsi que celui entre le sujet et l'objet sont traités selon la distinction entre la perception et l'imagination et dans la perspective d'une philosophie de l'unité. La perception, clairement distinguée de l'imagination, redéfinit les différents modes d'accès à l'objectivité. La réflexion husserlienne autour des idées d'unité, de totalité et d'élément sert ici de guide à l'élaboration d'une ontologie phénoménologique que nous ne faisons qu'indiquer, mais qui oriente notre approche des apories de la théorie.
Nous dessinerons ainsi un panorama complexe, qui pourrait servir de fond à une ontologie formelle, une ontologie matérielle et une ontologie du monde du vivant, que Husserl n'a pas développée en tant que telle, mais que nous tentons de comprendre à la lumière des nombreuses études qui lui ont été consacrées.
L'imagination et les champs sensibles ont été les thèmes de la première partie de notre enquête sur la théorie phénoménologique de l'intuition. La perception, qui est le moment de la donation en chair et en os de la chose, de l'essence individuelle qui se présente à l'intuition, le moment de la présence, constituera notre second sujet d'interrogation. Toute la théorie phénoménologique concentre en ce point sa tension maximale, car d'elle dépend la cohérence de l'ensemble.
Le rapport entre l'objet et la chose, ainsi que celui entre le sujet et l'objet sont traités selon la distinction entre la perception et l'imagination et dans la perspective d'une philosophie de l'unité. La perception, clairement distinguée de l'imagination, redéfinit les différents modes d'accès à l'objectivité. La réflexion husserlienne autour des idées d'unité, de totalité et d'élément sert ici de guide à l'élaboration d'une ontologie phénoménologique que nous ne faisons qu'indiquer, mais qui oriente notre approche des apories de la théorie.
Nous dessinerons ainsi un panorama complexe, qui pourrait servir de fond à une ontologie formelle, une ontologie matérielle et une ontologie du monde du vivant, que Husserl n'a pas développée en tant que telle, mais que nous tentons de comprendre à la lumière des nombreuses études qui lui ont été consacrées.