La Pensée sociale de John Ruskin
1e édition

Par : Philippe Jaudel

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  • Nombre de pages448
  • PrésentationBroché
  • Poids0.606 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-86460-445-0
  • EAN9782864604457
  • Date de parution01/11/1972
  • CollectionCollection Études anglaises
  • ÉditeurKLINCKSIECK

Résumé

Au cours de l'hiver 1876-1877, à l'âge de 58 ans, Ruskin se retrouve à Venise, où il a si souvent séjourné depuis son adolescence. Il prépare Saint Mark's Rest, qu'il laissera inachevé, comme tant d'autres oeuvres alors sur le métier ou en projet. La maladie, "fièvre cérébrale" , comme on disait à l'époque, psychose maniaque-dépressive ou schizophrénie selon les diagnostics modernes, le harcèle et sème la confusion dans son esprit.
Il écrira encore, souvent très brillamment, jusqu'en 1889, clamant son message dans le désert. Mais sa carrière touche à sa fin ; elle s'achève, avec Praeterita, fragment autobiographique, sur l'évocation presque sereine de son enfance et de sa jeunesse. Il s'éteindra en 1900, dans sa propriété du Lake District, "Brantwood" achetée en 1871. Le sort aura voulu qu'il meure pour la pensée bien avant d'expirer, lui qui avait dit que, dans une vie heureuse, le temps de mourir doit être très bref.
Au cours de l'hiver 1876-1877, à l'âge de 58 ans, Ruskin se retrouve à Venise, où il a si souvent séjourné depuis son adolescence. Il prépare Saint Mark's Rest, qu'il laissera inachevé, comme tant d'autres oeuvres alors sur le métier ou en projet. La maladie, "fièvre cérébrale" , comme on disait à l'époque, psychose maniaque-dépressive ou schizophrénie selon les diagnostics modernes, le harcèle et sème la confusion dans son esprit.
Il écrira encore, souvent très brillamment, jusqu'en 1889, clamant son message dans le désert. Mais sa carrière touche à sa fin ; elle s'achève, avec Praeterita, fragment autobiographique, sur l'évocation presque sereine de son enfance et de sa jeunesse. Il s'éteindra en 1900, dans sa propriété du Lake District, "Brantwood" achetée en 1871. Le sort aura voulu qu'il meure pour la pensée bien avant d'expirer, lui qui avait dit que, dans une vie heureuse, le temps de mourir doit être très bref.
"Lord Jim"
Philippe Jaudel, Frederic Raphael, Pierre Vitoux, Joseph Dobrinsky, Bertrand Saint-Sernin
E-book
6,99 €