Prix Nobel de Littérature (1980).
La pensée captive. Essai sur les logocraties populaires
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- Nombre de pages320
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.16 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
- ISBN2-07-032495-8
- EAN9782070324958
- Date de parution03/11/1988
- CollectionFolio. Essais
- ÉditeurGallimard
- TraducteurAndré Prudhommeaux
- PréfacierKarl Jaspers
Résumé
Ce qu'est l'asservissement de l'esprit dans les régimes sans liberté, l'écrivain Milosz le montre à partir du cas de la Pologne communiste. Mais son analyse vaut pour chaque pays où tous doivent vivre dans la méfiance de tous tant pèse la menace policière de la destruction individuelle. Grâce au succès écrasant d'une puissance idéologique apparemment irrésistible, la foi en la nécessité de l'histoire s'impose universellement, contraignant désormais quiconque à la dissimulation, aux transformations intérieures, et pour certains un jour, au bond subit de la conversion.
L'homme se scinde en deux - celui qu'il est et l'acteur qui porte le masque et en joue le rôle dans une surveillance réciproque. De ce mensonge généralisé, qui met en question la possibilité même de se comporter en homme, Milosz dévoile la monstrueuse cohérence et la monstrueuse confusion. Afin que cet univers de "la pensée captive", après son effondrement dans sa version communiste, cesse d'être une énigme pour l'interprétation du monde.
L'homme se scinde en deux - celui qu'il est et l'acteur qui porte le masque et en joue le rôle dans une surveillance réciproque. De ce mensonge généralisé, qui met en question la possibilité même de se comporter en homme, Milosz dévoile la monstrueuse cohérence et la monstrueuse confusion. Afin que cet univers de "la pensée captive", après son effondrement dans sa version communiste, cesse d'être une énigme pour l'interprétation du monde.
Ce qu'est l'asservissement de l'esprit dans les régimes sans liberté, l'écrivain Milosz le montre à partir du cas de la Pologne communiste. Mais son analyse vaut pour chaque pays où tous doivent vivre dans la méfiance de tous tant pèse la menace policière de la destruction individuelle. Grâce au succès écrasant d'une puissance idéologique apparemment irrésistible, la foi en la nécessité de l'histoire s'impose universellement, contraignant désormais quiconque à la dissimulation, aux transformations intérieures, et pour certains un jour, au bond subit de la conversion.
L'homme se scinde en deux - celui qu'il est et l'acteur qui porte le masque et en joue le rôle dans une surveillance réciproque. De ce mensonge généralisé, qui met en question la possibilité même de se comporter en homme, Milosz dévoile la monstrueuse cohérence et la monstrueuse confusion. Afin que cet univers de "la pensée captive", après son effondrement dans sa version communiste, cesse d'être une énigme pour l'interprétation du monde.
L'homme se scinde en deux - celui qu'il est et l'acteur qui porte le masque et en joue le rôle dans une surveillance réciproque. De ce mensonge généralisé, qui met en question la possibilité même de se comporter en homme, Milosz dévoile la monstrueuse cohérence et la monstrueuse confusion. Afin que cet univers de "la pensée captive", après son effondrement dans sa version communiste, cesse d'être une énigme pour l'interprétation du monde.