La peinture romaine

Par : Jean-Michel Croisille
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages375
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.94 kg
  • Dimensions23,5 cm × 29,0 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-7084-0748-1
  • EAN9782708407480
  • Date de parution05/01/2006
  • CollectionLes manuels d'art et d'archéo
  • ÉditeurPicard

Résumé

De nombreuses découvertes de peintures antiques, notamment dans le monde romain, ont été effectuées depuis quelques décennies, elles ont permis d'envisager sous un jour nouveau ce qu'il est aujourd'hui possible de nommer peinture romaine. Les études, monographies ou synthèses, qui ont été publiées sur le sujet, ont élargi considérablement notre vision traditionnelle, tributaire des travaux fondamentaux de l'archéologue allemand August Mau à la fin du XIXe siècle, qui définissait quatre styles successifs dans la peinture de Campanie, échelonnés du IIe siècle av. J.-C. à la fin du Ier siècle de notre ère. Il fallait désormais, sans renoncer au vaste corpus campanien, évaluer son importance relative dans l'ensemble du monde romain jusqu'à la fin de son histoire. En même temps, on se devait de considérer avec plus de profondeur ces œuvres d'artisans inspirés, de retrouver les sources grecques, voire étrusques de leurs réalisations pariétales dans une dépendance plus ou moins marquée de la peinture de chevalet disparue. On entrevoyait ainsi les raisons de la localisation de ces peintures dans le décor domestique en même temps qu'un certain bouleversement de la hiérarchie des sujets dans le cadre de programmes picturaux, qui apparaissaient désormais comme autant de témoins du regard sur le monde de leurs commanditaires, de leurs préoccupations philosophiques ou religieuses et finalement, dans une certaine mesure, comme un miroir de la société romaine. Mais plus concrètement, il fallait aussi faire le point sur les découvertes en matière technique, aidées par les nouveaux procédés d'analyse, et sur les conditions socio-économiques de la production de ces peintures. Comme les autres ouvrages de la collection, ce manuel ne présente pas un catalogue général des œuvres concernées mais il apparaît à point nommé pour rendre compte, à travers de nombreux exemples choisis, connus, peu étudiés ou inédits, de l'ensemble de ces démarches anciennes et nouvelles.
De nombreuses découvertes de peintures antiques, notamment dans le monde romain, ont été effectuées depuis quelques décennies, elles ont permis d'envisager sous un jour nouveau ce qu'il est aujourd'hui possible de nommer peinture romaine. Les études, monographies ou synthèses, qui ont été publiées sur le sujet, ont élargi considérablement notre vision traditionnelle, tributaire des travaux fondamentaux de l'archéologue allemand August Mau à la fin du XIXe siècle, qui définissait quatre styles successifs dans la peinture de Campanie, échelonnés du IIe siècle av. J.-C. à la fin du Ier siècle de notre ère. Il fallait désormais, sans renoncer au vaste corpus campanien, évaluer son importance relative dans l'ensemble du monde romain jusqu'à la fin de son histoire. En même temps, on se devait de considérer avec plus de profondeur ces œuvres d'artisans inspirés, de retrouver les sources grecques, voire étrusques de leurs réalisations pariétales dans une dépendance plus ou moins marquée de la peinture de chevalet disparue. On entrevoyait ainsi les raisons de la localisation de ces peintures dans le décor domestique en même temps qu'un certain bouleversement de la hiérarchie des sujets dans le cadre de programmes picturaux, qui apparaissaient désormais comme autant de témoins du regard sur le monde de leurs commanditaires, de leurs préoccupations philosophiques ou religieuses et finalement, dans une certaine mesure, comme un miroir de la société romaine. Mais plus concrètement, il fallait aussi faire le point sur les découvertes en matière technique, aidées par les nouveaux procédés d'analyse, et sur les conditions socio-économiques de la production de ces peintures. Comme les autres ouvrages de la collection, ce manuel ne présente pas un catalogue général des œuvres concernées mais il apparaît à point nommé pour rendre compte, à travers de nombreux exemples choisis, connus, peu étudiés ou inédits, de l'ensemble de ces démarches anciennes et nouvelles.
Blessure des mémoires
Jean-Michel Croisille
E-book
13,99 €