La peinture lyonnaise au XIXe siècle

Par : Elisabeth Hardouin-Fugier, Etienne Grafe
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  • Nombre de pages311
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids2.32 kg
  • Dimensions24,5 cm × 32,5 cm × 3,5 cm
  • ISBN2-85917-193-2
  • EAN9782859171933
  • Date de parution03/11/2000
  • ÉditeurAmateur (Editions de l')

Résumé

A Lyon -le bagne de la peinture selon Baudelaire-, si l'on peint des fleurs, l'on est dessinateur de Fabrique ou fleuriste. Si l'on plante son chevalet en pleine ville, on s'appelle Grobon, et, devant un étang, Ravier. Si l'on représente des saints en procession, l'on est Hippolyte Flandrin ou même Puvis de Chavannes. Si l'on investit les murailles du Panthéon en y représentant le destin de l'humanité, on se nomme Chenavard. Si l'on représente le Bien et le Mal, on est Orsel. Si l'on raconte en trente-quatre tableaux le Poème de l'âme, l'on porte le nom de Janmot. Cependant, on aime glisser d'un genre à l'autre. Enchaîné dans les entrelacs du dessin de Fabrique, comme l'écrit Alexandre Dumas, Simon Saint-Jean fausse compagnie à son patron pour peindre un bouquet. Devant les fleurettes pour la soierie, Appian sent naître une vocation de paysagiste vagabond. Berjon passe du dessinateur au fleuriste, du fleuriste au miniature pour devenir poète de la vie végétale.
A Lyon -le bagne de la peinture selon Baudelaire-, si l'on peint des fleurs, l'on est dessinateur de Fabrique ou fleuriste. Si l'on plante son chevalet en pleine ville, on s'appelle Grobon, et, devant un étang, Ravier. Si l'on représente des saints en procession, l'on est Hippolyte Flandrin ou même Puvis de Chavannes. Si l'on investit les murailles du Panthéon en y représentant le destin de l'humanité, on se nomme Chenavard. Si l'on représente le Bien et le Mal, on est Orsel. Si l'on raconte en trente-quatre tableaux le Poème de l'âme, l'on porte le nom de Janmot. Cependant, on aime glisser d'un genre à l'autre. Enchaîné dans les entrelacs du dessin de Fabrique, comme l'écrit Alexandre Dumas, Simon Saint-Jean fausse compagnie à son patron pour peindre un bouquet. Devant les fleurettes pour la soierie, Appian sent naître une vocation de paysagiste vagabond. Berjon passe du dessinateur au fleuriste, du fleuriste au miniature pour devenir poète de la vie végétale.
La corrida
Eric Baratay, Elisabeth Hardouin-Fugier, Paul Angoulvent, Camille Deprez
E-book
7,99 €
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