La nuit va bientôt tomber. Suivi de L'encre, c'est le sang

Par : Pierre Bergé
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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.32 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-07-275554-5
  • EAN9782072755545
  • Date de parution14/11/2019
  • CollectionBlanche
  • ÉditeurGallimard
  • InterviewerJoëlle Gayot
  • InterviewerLaure Adler

Résumé

Je suis né le 14 novembre 1930 dans une école, à Arceau, sur l'île d'Oléron. J'ai vécu dans cette école jusqu'à l'âge de neuf ans. Je me demande si elle existe encore. Le dimanche, la cour nous appartenait. Ma mère a été mon institutrice. Je suis resté un an dans sa classe et ce n'est pas un bon souvenir. Elle se croyait obligée d'être plus sévère avec moi puisque j'étais son fils. Mais c'était une bonne enseignante, comme me l'ont assuré certains de ses élèves que j'ai revus depuis.
Pendant près d'un an, Pierre Bergé s'est confié à Joëlle Gayot. Parce que la parole s'envole mais que les écrits restent, ils ont décidé de faire ce livre. On y voit Pierre Bergé enfant d'anarchistes, défenseur de la cause homosexuelle, mémoire d'Yves Saint Laurent, grand mécène, mélomane averti, esthète collectionneur, homme d'affaires pacifiste, viscéralement de gauche et contre tous les conformismes.
Ces entretiens sont prolongés par des conversations entre Pierre Bergé et Laure Adler, qui nous font découvrir un autre visage de cet homme à part, notamment ses goûts littéraires, de Louise Labé à Julian Barnes en passant par Villon, Marot, Flaubert, Proust, Stendhal, Rimbaud, Apollinaire, Genet, Giono, Jelinek, Coetzee, Roth.
Je suis né le 14 novembre 1930 dans une école, à Arceau, sur l'île d'Oléron. J'ai vécu dans cette école jusqu'à l'âge de neuf ans. Je me demande si elle existe encore. Le dimanche, la cour nous appartenait. Ma mère a été mon institutrice. Je suis resté un an dans sa classe et ce n'est pas un bon souvenir. Elle se croyait obligée d'être plus sévère avec moi puisque j'étais son fils. Mais c'était une bonne enseignante, comme me l'ont assuré certains de ses élèves que j'ai revus depuis.
Pendant près d'un an, Pierre Bergé s'est confié à Joëlle Gayot. Parce que la parole s'envole mais que les écrits restent, ils ont décidé de faire ce livre. On y voit Pierre Bergé enfant d'anarchistes, défenseur de la cause homosexuelle, mémoire d'Yves Saint Laurent, grand mécène, mélomane averti, esthète collectionneur, homme d'affaires pacifiste, viscéralement de gauche et contre tous les conformismes.
Ces entretiens sont prolongés par des conversations entre Pierre Bergé et Laure Adler, qui nous font découvrir un autre visage de cet homme à part, notamment ses goûts littéraires, de Louise Labé à Julian Barnes en passant par Villon, Marot, Flaubert, Proust, Stendhal, Rimbaud, Apollinaire, Genet, Giono, Jelinek, Coetzee, Roth.
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